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  • La crèche


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  • Sermon Noël 2019.

     « L’ange du Seigneur se présenta devant les bergers et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa Lumière. 
Alors l’ange leur dit :
« Ne craignez pas car voici que je vous annonce une bonne nouvelle 
qui sera une grande joie pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la ville de David,
 vous est né un Sauveur
 qui est le Christ, le Seigneur.
 Et voici le signe qui vous est donné :
vous trouverez un nouveau-né
 emmailloté et couché dans une mangeoire. »

    Voilà ce que nous venons d’entendre !

    Voilà ce que avez sous les yeux, derrière moi :

    « La lumière du Ciel visite la terre en Palestine, elle descend jusqu’à nous ce soir »

    Les Anges sont là,  eux qui accompagnent toujours la manifestation de Dieu

     

    Et pourtant quelle discrétion ! Le mystère est dit en une phrase « vous trouverez un nouveau-né
 emmailloté et couché dans une mangeoire. »  St Luc se contente de rapporter les faits que la crèche de notre paroisse montre.

    St Jean dans l’Evangile de demain, en donnera le sens : « Et le Verbe la Parole de Dieu s’est fait chair. Il a dressé sa tente parmi nous ».

     

    Ce récit très simple est plein d’instruction.

    Nous le méditerons sous la conduite de St Jean l’Apôtre.

    St Jean dit nous dit qu’en ce bébé, c’est Dieu qui a pris chair, qui a assumé la nature humaine. On dit souvent : Dieu s’est fait homme… mais c’est ambigu car le mot est abstrait et imprécis. Non ! Dieu s’est fait HOMME JUIF

                 La « chair » dont parle St Jean, c’est l’homme très concret, né sur une terre, parlant une langue, dans une culture, une histoire, un enracinement… Même si cette nature humaine est la même pour tous les hommes – donc universelle - ils la déclinent selon les modalités les plus variées. Et d’une manière toujours particulière. Depuis Babel, on sait que Dieu aime la variété. Et pour être universel, il faut être enraciné et vivre la nature humaine universelle de l’intérieur, dans le particularisme INEFFAÇABLE,  de son enracinement concret.

                Et en laissant subsister le peuple d’Israël, Dieu sans doute a voulu que nous n’oublions jamais CE PARTICULARISME DE L’INCARNATION, nous qui avons tellement la tentation de l’abstrait, surtout aujourd’hui : être de partout, - de Paris à Tokyo  en passant par New York, voilà le fin du fin de l’abstrait intelligent, moderne, l’avenir quoi ! - – de partout et en fait, de nulle part. En fait artificiel, évanescent et dangereux.

     

    Saint Jean poursuit pour évoquer la vie de Jésus « Il a dressé sa tente parmi nous »

    Dieu l’Eternel, le Tout Autre, Celui que personne ne peut connaître est donc entré dans le temps, dans la fragilité du temps, dans le peu de temps d’une vie que cette belle expression - « il a dressé sa tente » - veut suggérer. Il a vécu la brièveté d’une vie comme la nôtre. On ne campe pas durablement… c’est en allant vers quelque part qu’on campe, provisoirement. Même s’il est heureux et bon d’être sur terre – et Dieu y est venu avec nous – on n’y est qu’en passant. Et c’est une erreur grave d’y vivre comme si ce n’était pas en passant justement. La fragilité du campement de Jésus ce soir dans l’étable de l’arrière maison de la famille de Bethléem nous dit tout de suite que nous sommes en voyage sur cette terre, de passage…

     

    Mais alors de passage, mais alors, venant d’où ? Et allant vers où ?

     

                Venant d’où ? Depuis l’appel d’Abraham, voici 4000 ans à peu près, la Bible nous dit que nous sommes dans le désir et l’amour de Dieu, depuis toujours. Il aime chaque homme, désire son existence, lui confie une mission pour son bonheur et le bonheur des autres. Chacun a une place unique dans l’humanité : nous venons de Dieu : « Il nous a aimés dans le Christ dès avant la fondation du monde » écrit St Paul.

                Depuis l’appel d’Abraham, nous savons que Dieu n’impose rien à l’homme, il l’appelle et l’invite librement à répondre à son appel. C’est la grande imprudence divine : laisser l’homme libre de servir Dieu. Abraham est modèle de foi car il répondu « oui »…et s‘est lancé dans l’aventure avec Dieu … comme 2000 après lui, le fera la Vierge Marie à qui Dieu proposait cette chose inouïe : donner au Verbe divin, la chair d’une nature humaine, ce qui est réalisée ce soir ! Sous nos yeux. C’est pour cela qu’on fait une crèche, pour VOIR.

                Oui, chacun de nous reçoit un appel et tout le monde est indispensable dans la vision divine.

     

                Vers où allons-nous ? « à tous ceux qui l’ont reçu, écrit encore Saint Jean il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient. Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu. »

                Appelés à accueillir Dieu pour devenir son enfant, enfant de Dieu, en communion avec Dieu, participant à sa nature divine. Dès maintenant et en plénitude dans la vie éternelle. Tous « Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce. » écrit encore Saint Jean.

                Cela ne sert à rien de fêter Noël si ce soir Jésus ne naît pas davantage dans le cœur de chacun d’entre nous, c’est-à-dire si ne se produit pas en nous l’admirable échange que nous venons de chanter : Le Seigneur Jésus a pris notre nature humaine mortelle et fragile pour nous donner part à la nature divine, éternelle et nous entrainer par son Esprit dans l’amitié et la communion avec le Père. « Par un échange admirable, le Verbe a pris chair de Marie et il nous rend participant de sa divinité par la puissance de l’Esprit Alleluia. »

               

    Mais comment savoir que ce merveilleux échange se produit en nous ?

     

    Je ne retiendrai que deux réponses pour ce soir :

                - la première : si je pense ma vie et si je la vis de plus en plus, comme venant de Dieu, campant sur cette terre avant de retourner à Dieu pour l’éternité. Cela donne beaucoup de joie, cela libère du matérialisme destructeur de l’âme et de la société, de la cupidité et de l’attachement désordonné aux biens de ce monde. Cela met le cœur en paix.

                - la seconde : si j’imite les bergers dans leur foi et leur émerveillement :  car les deux – foi et émerveillement – vont ensemble ! Vous êtes là ce soir parce que vous savez qu’un événement important se produit. Vivez vraiment la fête, sans crainte, sans arrière-pensée, ce n’est pas un conte de fée pour enfant… C’est la Vérité divine pour chacun d’entre nous, il en va de notre destinée éternelle de communion avec Dieu. Ne faisons pas la fine bouche ou les désabusés qui ont tout vu !  Emerveillons-nous vraiment.

    Amen.

  • Sermon de la messe de l’Aurore

    La Fête de Noël se célèbre à 4 moments différents et une messe est particulière pour chacun de ses moments de la journée : la Veille au soir, la Nuit, l’Aurore et le Jour.

                La Veille, au moment où le soir baisse, où les ténèbres deviennent de pus en plus épaisses, le désir de la lumière se fait plus intense et l’espérance plus hardie… «  Tu ravives en nous dit l’oraison, la joyeuse espérance du salut. »

                La Nuit : c’est le livre de la Sagesse qui contemple cette venue nocturne de la Parole de Dieu chez les hommes : « Alors qu’un profond silence enveloppait toutes choses et que la nuit en était au milieu de son cours, ta Parole toute-puissante, Seigneur, est venue du ciel, ta demeure royale. » [1] Alors qu’on est au plus fort de la nuit, la Lumière pointe et jaillit de Dieu vers nous.

                L’Aurore – « Lueur qui précède le lever du soleil » : en effet, l’illumination divine nécessite du temps : depuis les premiers signes de la lumière, avant la plénitude du Jour, il faut du temps… mais quelle joie lorsque la première lueur apparaît ! L'aube est le moment de la journée où le ciel commence à s'éclaircir avant le lever du Soleil. Elle est également appelée le « petit matin » ou le « point du jour ».

                Le Jour où la rayonnement de la lumière est plénier.

     

    Mais la fête de Noël, elle – même, est située dans le rythme du cosmos : en fixant la Nativité du Seigneur au solstice d’hiver où la lumière recommence à grandir chaque jour et celle de St Jean Baptiste le 24 juin, solstice d’été où les jours commencent à diminuer selon la parole de St Jean « il faut que Lui le Christ grandisse et que moi je diminue » , l’Eglise nous enseigne que cette nativité du Seigneur est rénovation de l’homme mais aussi du cosmos entier : commencement de  la nouveauté de l’homme mais aussi de toute la nature solidairement à la destinée nouvelle de l’homme ; Dieu fait toutes choses nouvelles :

                « Père, Toi qui as merveilleusement créé l’homme et plus merveilleusement encore rétabli sa dignité…(messe du jour)

     

    Et en fêtant ainsi la Lumière divine qui nous envahit – « En ton Verbe fait chair une lumière nouvelle nous envahit » dit-on à la messe de l’aurore – nous exauçons ce qu’attendaient nos ancêtres païens de Rome ou de Germanie quand ils fêtaient au solstice d’hiver le « Sol invictus » le Soleil Invaincu !... ou encore nos ancêtres juifs quand chaque Sabbat ils fêtaient la lumière divine donnée aux hommes : « Accorde-nous de grandes bénédictions et assure l’intégrité de notre maison et la paix en son sein pour y faire résider ta Divine présence parmi nous. Illumine nos bougies d’une lumière qui ne s’éteigne jamais et éclaire ta face afin que nous soyons sauvés. »  Et notre oraison de la messe de l’Aurore en est comme un écho : « Puisque cette Lumière nouvelle éclaire déjà nos cours par la foi, fais qu’elle resplendisse dans toute notre vie. »

     

    Ainsi Noël nous permet d’accueillir la Lumière divine qui vient habiter une chair d’homme en Jésus.  Il est le Soleil de Justicedont parlait le prophète Malachie[2] : « Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le Soleil de justice et la guérison sera dans son rayonnement; vous sortirez, et vous sauterez de joie ».

     

    Et ce Soleil, nous le suivons d’heure en heure depuis le versant de la nuit,  à l’Aurore et dans son plein éclat, dans la joie de cette lumière qui nous divinise – « fais nous participer à la divinité de ton Fils qui a voulu prendre notre humanité »  demande-t-on à la messe du jour – et dont nous désirons être habités – « qu’illuminés dès ici-bas, nous goûtions dans le Ciel la plénitude de sa joie » demande-t-on à la messe de la nuit  « pour qu’elle resplendisse dans toute notre vie »demande-nous à la messe du Jour. Amen

     

    [1] Sg 18, 14-15

     

    [2]  Malachie 4/2

  • BONNE FÊTE DE NOËL

    Retable de l’église abbatiale de Beaume-les-Messieurs.       

         Nous voici tout près de fêter Noël.

                La ville tout entière est dans la lumière, le bruissement des achats, la musique et l’effervescence. Et cela depuis quelques semaines, car dans notre région, Noël est précédé de la fête de St Nicolas, un grand chrétien du 4ème siècle, évêque de Myre, devenu le patron de notre Province de Lorraine. Les enfants sans doute se réjouissent et rêvent déjà sur les cadeaux qu’ils auront bientôt.

                Il est bien juste de faire la fête, surtout en ce temps gris et froid.

                Mais que fêtons-nous donc ?

     

                Un fait si simple, un événement si discret qu’il est passé inaperçu pour les contemporains.

                La naissance d’un petit garçon, premier né d’un jeune couple de juifs de Galilée, nommés Marie et Joseph, … naissance imprévue, en plein voyage mais heureusement dans la famille de Bethléem qui a pu les accueillir.

                Cette naissance qui allait bouleverser le monde, ne fut connue que de la famille, de quelques voisins et de bergers qui veillaient sur leurs troupeaux dans la nuit.

                Un fait si simple et pourtant si capital : ce petit enfant va se révéler le Messie d’Israël, le Sauveur attendu de son peuple et de tous les hommes qui lui feront confiance. Ce petit enfant va devenir un homme mûr, d’une grande profondeur de cœur, compatissant à toutes les misères des hommes qu’il rencontrait. Il a cherché à élever l’humanité vers Dieu, de Dieu dont Il parlait d’une manière toute nouvelle : il leur montrait qu’en Lui, c’est Dieu lui-même qui visitait son peuple pour tous les hommes.

                Et ce calme, cette autorité, cette bienveillance, cet amour… Jésus les a gardés jusqu’à la fin, même quand les autorités de son peuple l’ont livré au gouverneur romain pour le faire crucifier. Tout a culminé dans son pardon donné aux meurtriers.

     

                Si nous fêtons Noël encore aujourd’hui, c’est parce que cet homme né si humblement et tué si honteusement, Dieu lui a fait passer la mort, l’a ressuscité : il est toujours mystérieusement vivant, présent au milieu des hommes pour donner son Amour. La communauté des chrétiens aujourd’hui en est témoin sur toute la face de la terre.

                Aussi, nous communauté catholique du quartier st Pierre, nous sommes heureux de vous souhaiter un Bon Noël, de vous laisser toucher par cet enfant et cet homme si exceptionnel. Puissiez-vous recevoir la joie qu’il donne dans le cœur !

                Nous vous invitons, si vous le désirez, à vivre Noël avec nous, au cours de la messe de la nuit qui aura lieu à Saint Pierre le 24 décembre 2019 à 22 Heures et à visiter notre crèche.

     

    Le Père Jacques Bombardier curé de St Pierre

    Le conseil de la paroisse

    Et tous les fidèles catholiques du quartier.

     

  • Saint Jean Baptiste, une figure exceptionnelle et complexe.

    Une illumination divine

                Dans le sein de sa mère. Comme Jérémie. Avec la venue du Christ dans le sein de Marie : cette illumination joyeuse est une initiation intime au dessein divin sur le monde et à la mission confiée à Jean Baptiste. Selon l’Evangile, il n’aura pas d’autres consignes !

     

    Une entrée dans la joie du maître

                La rencontre avec le Christ  le fait « tressaillir » comme dit Elisabeth. Nous sommes tout proche de la parole de Jésus au bon serviteur « entre dans la joie de ton maître ». Joie que Jean exprimera avec une infinie douceur et délicatesse : joie d’être l’ami de l’Epoux, c’est-à-dire de préparer la fiancée pour l’Epoux. (Jn 3)

     

    Mais aussi

    Une vie rustique austère,  à la limite du désert et de la terre habitée, là où beaucoup de gens passent !  Et ce très tôt, « l’enfant fut conduit au désert » dit St Luc. Jean sait qu’il doit « dégrossir » le peuple, l’affiner pour lui permettre d’être à la hauteur du message du Messie, Epoux des Noces !  Et avec ardeur, Jean y met toute son énergie.

     

    Une magnifique « formation » donnée aux disciples proches, les préparant à suivre le Christ au moment qu’il faudra. Quand on voit la qualité de ceux qui sont passés entre ses mains : Jean l’Apôtre, Pierre, André , …

     

    Un effacement extraordinaire devant le Christ auquel il fait passer ses meilleurs disciples ! Toute sa joie son énergie, sa force, tout est mis au service d‘une seule mission : annoncer le Christ Epoux et préparer le peuple à la recevoir.

     

    Alors le soit disant « doute de Jean » de l’Evangile d’aujourd’hui ?  Plusieurs hypothèses bien sûr !

                * Doute de Jean lui-même qui connaîtrait comme une « nuit » tout à coup devant la manière dont le Christ Epoux se comporte, devant son effacement … Serait-ce alors comme une annonce de la nuit d’agonie du Christ ? Serait-ce la dernière purification du grand homme, l’abandon de sa mission – comme nous devons tous les faire, comme les parents doivent abandonner leurs enfants à leur vie -  ou l’impression de se croire abandonné de Dieu ?

                 * Mais aussi, comme beaucoup de Pères l’ont compris, le maître – Jean Baptiste – qui est harcelé par des disciples récalcitrants « à passer à Jésus », des disciples que Jean n’arrive pas à persuader et qu’il envoie au Christ afin que celui-ci s’explique : et Jésus ne fait que montrer et comme souligner son action… c’est-à-dire les actes qu’Isaïe avait annoncés comme ceux que ferait le Messie. A eux de choisir librement !

    On ne choisit pas Jésus sur ordre ou par raisonnement : on le choisit, lui, par évidence intérieure, par certitude personnelle devant, comme dit Newman « un faisceau de faits concordants ». Amen.

  • A propos de l’Evangile de dimanche dernier…

    1er de l’Avent A

    Pourquoi craindre de rencontrer le Seigneur à la fin des temps, à la fin de sa vie ? 

    Voici quelques lignes de Saint John Henry Newman, oratorien anglais de St Philippe Néri (1801-1890)

    « Si cette rencontre dernière est perçue comme redoutable, que dire alors d’une rencontre dans le sacrement de la très sainte communion ? Car c’est jusque dans la forme, un avant-goût de sa venue, une proximité qui en est le gage…Ceux qui pratiquent la communion, comprennent bien qu’on puisse à la fois « craindre » de s’approcher ainsi de Dieu et s’y rendre quand même… La joie ne change pas la crainte révérencieuse, elles persistent toutes les deux… C’est dans ces dispositions différentes que nous voulons rencontrer le Seigneur à sa table, que nous devons prier pour sa venue et que les élus se tiendront devant Lui à son avènement. » 

    Quand nous le rencontrerons à la fin des temps, (ou à la fin de notre vie qui est une anticipation de la fin des temps pour nous personnellement) « si nous sommes à Lui, nous aurons le réconfort intérieur de son Esprit qui nous portera vers Lui et témoignera avec nous que nous sommes enfants de Dieu. Dieu est mystérieusement en 3 endroits :

                1 – tandis qu’il siège au plus haut des cieux il vient juger le monde.

                2 – Tout en jugeant le monde, il est en nous, il nous soutient et va en nous à la rencontre de lui-même. Dieu le Fils est à l’extérieur mais Dieu le Saint Esprit est à l’intérieur ; le Fils demande et l’Esprit Saint répond.

                L’Esprit saint nous est donné ici-bas ; si nous nous laissons aller à l’influence de sa grâce, de sorte qu’il attire vers le Ciel nos pensées et notre volonté et qu’il ne fasse plus qu’un avec nous, il demeurera avec nous, et nous donnera confiance au jour du jugement. »

     

    Prier pour être fidèle jusqu’au bout et accueillir le Christ miséricordieux dès maintenant en toute joie.

    « Que je sois jamais séparé de toi ». (prière secrète du prêtre juste avant la communion reprise par Blaise Pascal dans son Mémorial)

     

    Extraits du Sermon 4

     vol. 4 du 4/12/ 1836