Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Annonces pour la semaine de la Toussaint

    feuilles mortes.jpg

    mardi 30 octobre à 18H à St Pierre

    Toussaint :
    mercredi 31 octobre : 18H à Bonsecours, messe de la Toussaint
    jeudi 1er novembre
    : 11H à St Pierre

    Messe pour les défunts :
    vendredi 2 novembre
    9H30 à Bonsecours
    19H à St Pierre : messe pour les défunts à laquelle sont invitées les familles qui ont vécu un deuil cette année dans notre paroisse ou ailleurs.

    samedi 3 novembre
    18H à Bonsecours : 31è dimanche dans le temps.
    messe sonnée par le Débuché de Lorraine pour le fête de St Hubert.

    dimanche 4 novembre à 11H à St Pierre : messe dominicale du 31è dimanche dans le temps.

  • CONCILE VATICAN II : UNE BOUSSOLE POUR AUJOURD'HUI

    Cycle des «Jeudis de Vatican II » par le P. Jacques Bombardier c.o. Cinq conférences pour découvrir ou redécouvrir Vatican II

    Cliquez sur l'image pour l'agrandir :

     1 CONCILE 2012.jpg

    Jeudi 15 novembre à 20H 30 : A La Croisée au domaine de l'Asnée
    Le Concile Vatican II : une boussole pour aujourd'hui
    présentation générale du Concile: contexte et déroulement

    Pour aller plus loin.: 4 conférences. salle Rome à 20 h 30:

    *29 novembre 2012 : la lumière du Christ se reflète sur le Visage de l'Eglise.
    Constitution Lumen Gentium

    *13 décembre 2012 : Dieu s'adresse aux hommes comme à des amis.
    Constitution Dei Verbum

    *17 janvier 2013 : La liturgie. source et sommet de la vie de l'Eglise.
    Constitution Sacrosanctum Concilium

    *31 janvier 2013 : La Mission de l'Eglise dans le monde de ce temps:
    Constitution Gaudium et Spes et décrets Nostra Aetate et Dignitatis Humanae

    Renseignements : http://www.espace-ada.fr/


  • L’APPORT DU CONCILE VATICAN II

    Une compréhension renouvelée de l’Eglise.

    Le Concile emploie très souvent l’expression : « Le Christ et son Epouse ».  Au lieu de regarder l’Eglise comme une organisation, le concile l’a regardée avec les yeux de la foi comme l’Epouse du Christ, comme le « sacrement de l’union intime avec Dieu et de l’union du genre humain. » (Lumen Gentium I/1)

    L’Eglise est le peuple de Dieu, le Corps du Christ et le Temple de l’Esprit, la Présence de Dieu en ce monde. Voulue par le Père depuis toujours, créée par le Christ dans sa pâque, animée par l’Esprit saint qui lui donne une éternelle jeunesse, l’Eglise trouve donc sa source et son unité dans la Ste Trinité. (Lumen Gentium I/4)

    Enfin, l’Eglise contemple ce qu’elle est sur le visage de la Vierge Marie, Epouse et Mère. (VIII)

    Quand le Concile parle de Dieu, il le nomme toujours dans son unité trinitaire et selon la révélation faite dans l’Ancien et le nouveau testaments.

    Une compréhension plus approfondie du sacrement de l’ordre.

    Les évêques sont « les successeurs des apôtres », recevant la plénitude du sacrement de l’ordre. Dans l’Eglise ils forment un collège uni autour du Pape (le « Pierre » de chaque époque) qui continue le collège des apôtres autour de Pierre. Cela se manifeste particulièrement dans l’institution du Synode des évêques réuni à Rome tous les deux ou trois ans pour le gouvernement de l’Eglise. (LG 21 et 22)

    Les prêtres qui forment dans chaque diocèse un « presbyterium » autour de leur évêque, collaborateurs des évêques assurent le triple service d’enseigner (la Parole dans la fidélité à la Tradition de l’Eglise), sanctifier (par les sacrements) et gouverner le peuple de Dieu qui leur est confié. (LG 28)

    Le diaconat permanent est rétabli dans l’Eglise, sacrement du Christ Serviteur. (LG29)

    La différence entre le sacerdoce des baptisés et le sacerdoce ministériel des prêtres n’est pas une différence de degré mais une différence de nature. Le second étant créé par le Christ pour la sanctification du premier. (LG 28)

    Une clarification de la place et du rôle des laïcs dans l’Eglise.

    Les laïcs sont chargés de la mission de l’Eglise d’annoncer le Christ et son Evangile dans les réalités séculières (vie de famille, travail, engagement associatif, politique, syndical ou culturel) de leur vie. Et cette mission repose comme fondement sur leur sacrement de baptême et de confirmation. Ces réalités séculières, ils sont chargés de les animer de l’intérieur de l’Esprit du Christ et de les offrir à Dieu dans l’Eucharistie pour que le Royaume de Dieu grandisse et que « Dieu soit tout en tous ». (LG + GS et AA)

    Ils sont aussi associés à l’animation de la communauté de l’Eglise dans les diocèses, les paroisses et les mouvements divers.

    Une attitude pastorale pour l’Eglise (G et S) et (AG)

    Un texte de Paul VI résume bien l’attitude que l’Eglise a voulu adopter vis à vis du monde nouveau et mélangé qu’elle voyait naître sous ses yeux et que nous vivons maintenant : le concile avait eu lieu en un temps « que tous reconnaissent comme orienté vers la conquête du royaume terrestre plutôt que vers le Royaume des cieux. L’humanisme laïc et profane est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion du Dieu qui s’est fait homme s’est rencontrée avec la religion (car c’en est une) de l’homme qui se fait dieu. Qu’est-il arrivé ?  Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver. Mais cela n’a pas eu lieu. La vieille histoire du Bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile. » (7 décembre 1965) . Une réflexion nouvelle sur les Missions (AG)

    Une réforme de la liturgie. (SC)

    Le Concile a donné les principes selon lesquels on devait réformer la liturgie de la messe, des sacrements et de la prière. La messe a été purifiée de ce qui avait été ajouté au cours des siècles et qui surchargeait les rites.  Le dimanche a été recentré sur le mystère pascal du Christ, le trésor de l’Ecriture lue à la messe a été considérablement augmenté avec un programme de lectures sur 3 ans pour les dimanches et sur 2 ans pour la semaine. Le nombre des prières a été augmenté en puisant dans les trésors liturgiques des siècles passés (Vè et VIè siècles principalement). Le bréviaire réservé aux prêtres est devenu « la liturgie des heures » pour tous les fidèles qui y puisent la matière de leur prière et  que les ministres ordonnés disent intégralement. Les fidèles sont invités à une participation active et fructueuse à la liturgie, participation qui culmine à la messe dans l’offrande d’eux mêmes et de toute leur vie, avec le Christ, à Dieu le Père. « Par conséquent, toute célébration liturgique, en tant qu’œuvre du Christ prêtre et de son Corps qui est l’Église, est l’action sacrée par excellence dont nulle autre action de l’Église ne peut atteindre l’efficacité au même titre et au même degré. » (SC 7)

    Une vision renouvelée de la Sainte Ecriture et de la Tradition. Question laissée comme en suspens par le Concile de Trente

    « Il a plu à Dieu dans sa bonté et sa sagesse de se révéler en personne et de faire connaître le mystère de sa volonté grâce auquel les hommes, par le Christ, le Verbe fait chair, accèdent dans l’Esprit Saint, auprès du Père et sont rendus participants de la nature divine. Par cette révélation, le Dieu invisible s’adresse aux hommes en son surabondant amour comme à des amis, il s’entretient avec eux pour les inviter et les admettre à partager sa propre vie. » (DV 2)

    « L’enseignement des saints Pères atteste la présence vivifiante de cette Tradition, dont les richesses passent dans la pratique et dans la vie de l’Église qui croit et qui prie. C’est cette même tradition, qui fait connaître à l’Église le canon intégral des Livres Saints ; c’est elle aussi qui, dans l’Église, fait comprendre cette Écriture Sainte et la rend continuellement opérante. Ainsi Dieu, qui a parlé jadis, ne cesse de converser avec l’Épouse de son Fils bien-aimé… La Tradition est donc une réalité vivante et sous la conduite l’Esprit Saint, l’Eglise ne cesse de grandir dans l’intelligence des mystères que Dieu lui a révélées (DV 8)

    Le Concile a réintroduit dans la pensée de l’Eglise le sens de l’histoire du salut, chère aux Pères de l’Eglise.

    Un rapport nouveau avec le peuple juif. Nostra Aetate. (§4)

    « L’Église ne peut oublier qu’elle a reçu la révélation de l’Ancien Testament par ce peuple avec lequel Dieu, dans sa miséricorde indicible, a daigné conclure l’antique Alliance, et qu’elle se nourrit de la racine de l’olivier franc sur lequel ont été greffés les rameaux de l’olivier sauvage que sont les Gentils. L’Église croit, en effet, que le Christ, notre paix, a réconcilié les Juifs et les Gentils par sa croix et en lui-même, des deux, a fait un seul. Du fait d’un si grand patrimoine spirituel, commun aux chrétiens et aux Juifs, le saint Concile veut encourager et recommander la connaissance et l’estime mutuelles, qui naîtront surtout d’études bibliques et théologiques, ainsi que d’un dialogue fraternel. Encore que des autorités juives, avec leurs partisans, aient poussé à la mort du Christ, ce qui a été commis durant sa Passion ne peut être imputé ni indistinctement à tous les Juifs vivant alors, ni aux Juifs de notre temps. Que tous donc aient soin, dans la catéchèse et la prédication de la Parole de Dieu, de n’enseigner quoi que ce soit qui ne soit conforme à la vérité de l’Évangile et à l’esprit du Christ. En outre, l’Église, qui réprouve toutes les persécutions contre tous les hommes, quels qu’ils soient, ne pouvant oublier le patrimoine qu’elle a en commun avec les Juifs,… déplore les haines, les persécutions et les manifestations d’antisémitisme, qui, quels que soient leur époque et leurs auteurs, ont été dirigées contre les Juifs. »

    Un combat pour la liberté religieuse.

    La doctrine centrale de la Déclaration s'inscrit dans la tradition développée depuis Léon XIII: la démarche religieuse de l'homme doit se faire à l'abri de toute contrainte externe. "Cette liberté consiste en ce que tous les hommes doivent être soustraits à toute contrainte de la part soit des individus, soit des groupes sociaux et de quelque pouvoir humain que ce soit, de telle sorte qu'en matière religieuse nul ne soit forcé d'agir contre sa conscience, ni empêché d'agir, dans de justes limites, selon sa conscience, en privé comme en public, seul ou associé à d'autres" (DH 2, 1)

  • Petit journal du concile Vatican II

    VAT II.jpg

    On peut résumer ainsi : le concile Vatican II,  c’est 2 ½ ans de préparation, 4 années de déroulement, 4 sessions et 4 inter sessions.

    2 ans ½ de préparation…

    1- une commission ante préparatoire chargée de recueillir les questions qui se posent auprès des évêques, des supérieurs d’ordres, des universités, des théologiens… 2598 personnes consultées, 1998 réponses, soit 77%, 5000 pages imprimées.

    2 – une commission préparatoire composée d’une commission directrice et de 10 sous-commissions selon les dicastères correspondants. Ces commissions étaient formées de membres effectifs qui votaient et de théologiens consultés. Chacune était présidée par le cardinal de la congrégation concernée. Cela faisait environ 850 clercs au travail. De ce travail sortirent 70 documents soumis aux Pères.

    3 – Jean XXIII avait ajouté à toutes ces commissions un « secrétariat pour l’unité des chrétiens » et l’avait confié au cardinal Béa le théologien et confesseur de Pie XII. Ce secrétariat jouera un rôle essentiel au Concile.

                    Convocation

    Le St Siège a envoyé 2850 convocations au Concile, à l’ouverture un peu moins de 100 étaient absents ! Pour les 4 sessions, environ 2400 pères participèrent au débat.

    Ils étaient 750 à Vatican I, entre 29 et 200 à Trente, 318 à Nicée.
    Les 2750 étaient originaires de 196 pays différents…  36% d’Europe, 34% d’Amérique, 20% d’Asie et Océanie, 10% d’Afrique .

    La plupart des Pères étaient venus avec un secrétaire et/ou un conseiller théologique.
    En plus des Pères, le Pape avait nommé 484 experts  pour aider les Pères.

    Enfin, il y eut selon les sessions entre 50 et 100 observateurs non catholiques (orthodoxes et protestants) ou catholiques laïcs. Ils allèrent en augmentant selon les sessions !

    Avec les journalistes, le personnel de service et des groupes divers qui tournèrent autour du Concile, on pense que c’est 7500 personnes qui travaillèrent pour la réussite du Concile.

    La salle de réunion était la nef de St Pierre, bien aménagée avec des tribunes entre les piliers. Il y avait deux bars dans chaque bas-côté afin de permettre aux Pères de se retrouver et de  discuter. La sonorisation était excellente et la répartition des micros facilitait les débats.

    En haut de la nef, près de la confession de Pierre, un fauteuil avec le Livre de l’Evangile ouvert posé dessus. Il était intronisé chaque jour après la messe célébrée dans les différents rites de l’Eglise catholique et présidait les débats.

    4 années et 4 sessions

    Il y eut 168 séances de travail tous ensemble de 9H à 12H. (On disait congrégation générale). L’après-midi était consacré au travail personnel, aux rencontres de commissions nationales qui se sont vite mises en place, pour des conférences, débats divers et rencontres personnelles. Aussi important que le travail du matin.

    Il y eut 10 séances solennelles publiques en particulier pour les votes des textes.

    Les inter sessions sont aussi des moments importants par la confrontation avec l’Eglise locale, par les rencontres d’experts qui proposeront de nouveaux textes.

    L’animation du concile

    Les modérateurs : ils sont 4 dont Cardinaux Suenens, Agagianian, Döpfner et Lercaro.
    Le conseil des présidents 
    : 10 cardinaux nommés, dont cardinaux Tisserant, le seul de Curie, Alfrink , Frings, Liénart, Ruffini, Siri, Spellman…
    Un secrétariat des affaires extraordinaires
    présidé par Cardinal Cigognani secrétaire d’Etat
    Le secrétaire du concile 
    : Mgr Felici.

     

  • Messe pour les 50 ans de l'ouverture du Concile

    7. Présence du Christ dans la liturgie     Pour l’accomplissement d’une si grande œuvre, le Christ est toujours là auprès de son Église, surtout dans les actions liturgiques. Il est là présent dans le sacrifice de la messe, et dans la personne du ministre, … et, au plus haut degré, sous les espèces eucharistiques. Il est là présent dans sa parole, car c’est lui qui parle tandis qu’on lit dans l’Église les Saintes Écritures. Enfin il est là présent lorsque l’Église prie et chante les psaumes… Effectivement, pour l’accomplissement de cette grande œuvre par laquelle Dieu est parfaitement glorifié et les hommes sanctifiés, le Christ s’associe toujours l’Église, son Epouse bien-aimée, qui l’invoque comme son Seigneur et qui, par la médiation de celui-ci, rend son culte au Père éternel. »(Liturgie)

    TOI QUI AS FAIT DE PIERRE ET DE PAUL LES TÉMOINS JOYEUX DE LA BONNE NOUVELLE GLOIRE A ROI SEIGNEUR JESUS, GLOIRE A TOI !

     1 -  Toi qui as envoyé tes apôtres devant Ta Face
    Loué sois-Tu pour Pierre et Paul, les colonnes de Ton Eglise
    Tu as mis dans leur bouche  Ta Parole de Vie
    Ils ont versé leur sang   pour confesser Ton Nom.

    2 - Toi qui rassembles tous les hommes en un seul Peuple
    Tu as donné à Pierre d’annoncer la Résurrection au peuple juif.
    Et Paul annonça aux païens qu’ils étaient héritiers de la même Promesse
    Afin que tous soient réconciliés par le Sang de l’Alliance Nouvelle.

    3 - Tu as choisi Paul pour révéler ton Nom parmi les païens
    Du persécuteur de l’Eglise / Tu as fait l’Apôtre des nations! /C’est par grâce que Tu l’as mis à part / Et ta grâce en lui n’a pas été vaine.

    Avant la Parole de Dieu.

    Il a plu à Dieu dans sa bonté et sa sagesse de se révéler en personne et de faire connaître le mystère de sa volonté grâce auquel les hommes, par le Christ, le Verbe fait chair, accèdent dans l’Esprit Saint, auprès du Père et sont rendus participants de la nature divine. Par cette révélation, le Dieu invisible s’adresse aux hommes en son surabondant amour comme à des amis, il s’entretient avec eux pour les inviter et les admettre à partager sa propre vie.

    Ainsi Dieu, qui a parlé jadis, ne cesse de converser avec l’Épouse de son Fils bien-aimé, et l’Esprit Saint, par qui la voix vivante de l’Évangile retentit dans l’Église et, par l’Église, dans le monde, introduit les croyants dans la vérité tout entière et fait que la parole du Christ réside en eux avec toute sa richesse.

    Psaume :
    RASSASIE NOUS DE TON AMOUR : NOUS SERONS DANS LA JOIE !

    Offertoire

    Par conséquent, toute célébration liturgique, en tant qu’œuvre du Christ prêtre et de son Corps qui est l’Église, est l’action sacrée par excellence dont nulle autre action de l’Église ne peut atteindre l’efficacité au même titre et au même degré.

    Dans la liturgie terrestre, nous participons par un avant-goût à cette liturgie céleste qui se célèbre dans la sainte cité de Jérusalem à laquelle nous tendons comme des voyageurs…

    Aussi l’Église se soucie-t-elle d’obtenir que les fidèles n’assistent pas à ce mystère de la foi comme des spectateurs étrangers et muets, mais que, le comprenant bien dans ses rites et ses prières, ils participent de façon consciente, pieuse et active à l’action sacrée, soient formés par la Parole de Dieu, se restaurent à la table du Corps du Seigneur, rendent grâces à Dieu ; qu’offrant la victime sans tache, non seulement par les mains du prêtre, mais aussi en union avec lui, ils apprennent à s’offrir eux-mêmes et, de jour en jour, soient consommés, par la médiation du Christ, dans l’unité avec Dieu et entre eux pour que, finalement, Dieu soit tout en tous. »

    Communion

    « l’Eglise est dans le Christ comme un sacrement ou si l’on veut, un signe et un moyen d’opérer l’union intime avec Dieu et l’unité de tout le genre humain » (I/1)

    LIVREZ VOUS A L’EMPRISE DU DIEU VIVANT POUR LE SERVIR EN SON EGLISE.
    1 – L’amour de Dieu est infini / Il vous a pris pour le révéler
    Pour guider ceux qui le cherchent/ aux Sources du Verbe de Vie

    2 – Sanctifiés par l’Esprit d’amour /marchez de clarté en clarté
    Vers la ressemblance avec le Christ /il vous partagera sa Gloire.

    « Toutefois, la liturgie est le sommet vers lequel tend l’action de l’Église, et en même temps la source d’où découle toute sa vertu. Car les labeurs apostoliques visent à ce que tous, devenus enfants de Dieu par la foi et le baptême, se rassemblent, louent Dieu au milieu de l’Église, participent au sacrifice et mangent la Cène du Seigneur. » (liturgie)