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  • 30ème dimanche A

    Nous connaissons bien cette réponse de Jésus qui lie deux versets de l’Ancien testament : « « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. ». L’originalité de la réponse de Jésus est de lier – parce que semblables – l’amour de Dieu, l’amour du prochain et l’amour de soi. 

     

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  • 29ème dimanche A

    Voilà un nouveau piège tendu au Christ pour le prendre en faute. Car la question n’est pas anodine et elle peut mettre Jésus en porte à faux. Mais peut-on prendre en faute la Vérité ? 

    Ainsi les pharisiens, qui, à l’époque du Christ supportaient les romains comme un mal inévitable s’allient aux Hérodiens qui eux tiennent à la restauration d’Hérode sur toute la Palestine pour poser à Jésus une question piège qui a trait à la Loi juive : selon le « chemin de Dieu »… « Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ? ». La question est habile, le piège est tendu...

     

     

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  • 28ème dimanche A

    A chaque messe nous sommes invités : « Heureux les invités au festin des noces de l’Agneau ! » Eh bien justement ! L’Evangile d’aujourd’hui en parle ! Mais quel est donc ce vêtement de noces à revêtir ?
    Il faut avouer que cette parabole contient bien des surprises : 

    - Un Roi marie son Fils... nous savons depuis longtemps que la venue de Jésus parmi les hommes est comprise par Jésus – à la suite de l’Ancien Testament - comme une noce. A ceux qui le critiquent de ne pas jeûner, Jésus répond : « les invités peuvent- ils jeûner quand l’Epoux est avec eux ? » 

     

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  • L’hymne de l’épitre aux Philippiens

             Nous venons d’entendre retentir l’hymne admirable que saint Paul a écrite dans la Lettre aux Philippiens (2, 6-11).

             Le texte comprend un double mouvement: descendant et ascendant. 

             Dans le premier mouvement descendant, le Christ Jésus se différencie d’Adam : il ne cherche pas à conquérir ou à garder le rang qui l’égalait à Dieu. Le verbe employé par St Paul est « harpagon » c’est-à-dire mot à mot « considérer comme une proie à ravir ». C’est le mot qu’a choisi Molière pour nommer son avare « Harpagon ». Il avait des lettres bibliques !

     

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