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Saint Pierre-Bonsecours - Page 41

  • Lettre mensuelle de septembre

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    CALENDRIER DES PREMIÈRES DATES

    Vendredi 7 sept. :18H anniversaire de la dédicace de l’église de Bonsecours. Messe avec vêpres intégrées.

     

    Samedi 8 sept.

    10H15-11H45 : Rencontre de catéchèse salle St Jean Paul II. RENTREE DE LA CATÉCHÈSE.

     

    Fête de la Nativité de la Sainte Vierge. A Bonsecours 17H30 vêpres de fa fête suivies de la messe dominicale.

     

    Dimanche 16 sept : Dimanche de rentrée de la paroisse. Après la messe de 11H, apéritif communautaire.

     

    Dimanche 23 septembre :

    RÉCOLLECTION PAROISSIALE DE RENTRÉE : 11H messe puis pique nique suivi d’un après-midi de méditation, d’échange et de prière. Fin 17H

     

    Mardi 25 sept :20H30 salle St Vincent de Paul, Etude de l’Evangile selon Sant Matthieureprise.

     

    Samedi 29 sept : 10H15-11H45 : Rencontre de catéchèse salle St Jean Paul II.

     

     

     

  • Calendrier des fêtes à Notre Dame de Bonsecours

    Il est sur cette page et vous pouvez l'imprimer ICI

    bonsecours.png

    Tombeau de la Reine Catherine, épouse de Stanislas.

     

  • Activités et rencontres de l'année

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    NOTRE GRAND THEME D’ANNÉE

    Nos communautés chrétiennes dans les pays occidentaux et particulier dans notre pays connaissent une situation nouvelle : elles vivent à la fois une diminution d’effectifs, un vieillissement et en même temps un renouveau profond de la foi qui cesse d’être héritage culturel et familial pour devenir choix libre, conscient et personnel. Nous avons besoin de reprendre les fondamentaux : quel est le foyer, le centre d’une communauté catholique ? l’Eucharistie dominicale, « source et sommet de la Vie de l’Eglise »dit le Concile Vatican II. Le renouveau de l’Eglise est d’abord un don de Dieu à accueillir. Nous avons besoin de remettre dans l’ordre nos priorités. Toutes les paroisses du Centre de Nancy vont cette année se mettre à l’écoute du pape St Jean Paul II dans son encyclique « l’Eglise vit de l’Eucharistie » : nous vous donnerons ce texte le dimanche 7 octobre ; lecture au cours de l’année (des rencontres seront proposées),  homélies,  ré-explication des rites de la messe et de leur sens, bref, il s’agit de redécouvrir notre trésor.

     

  • L'eucharistique est au centre de la vie de disciple

     

     

    20èmedimanche dans le temps B

                Nous venons d’entendre Jésus déclarer avec force : « Amen, amen, je vous le dis :  si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,  et si vous ne buvez pas son sang,  vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang  a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. »L’enseignement est clair : la manducation eucharistique est au centre de la vie de disciple du Christcomme accueil en nous de la Vie divine –éternelle – et comme gage de notre résurrection. Un peu plus loin Jésus insiste : « Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui. »

                Je ne suis pas sûr que les catholiques français soient tout à fait convaincus de cette centralité de l’eucharistie, eux qui pratiquent si peu ! Il n’y a pas encore si longtemps qu’on expliquait que l’eucharistie n’était pas « obligatoire » et qu’on pouvait être chrétien sans y participer : il fallait seulement faire du bien.

                Car le fond de l’affaire est le suivant : on a fait du christianisme une morale, rigoriste personnelle pour les traditionnalistes, socialiste et collective pour les progressistes. Mais c’est toujours de la morale.Que de fois entend-on des parents expliquer qu’ils font baptiser leur enfant pour lui inculquer des « valeurs : tolérance, paix, amour … »

     

                Et cela vient de loin :de la seconde moitié du 19èmesiècle, en Allemagne ou en Angleterre dans les pays protestants : on a voulu faire une présentation « rationaliste » de la foi c’est-à-dire enlever du contenu tout ce que la raison scientifique ne pouvait tolérer : miracles, résurrection, eucharistie, divinité du Christ, résurrection finale … Que reste-t-il ? Un Jésus moral et moraliste. Ainsi Dieu existe, il nous veut moraux et il nous récompense à la fin. Voilà le credo qui reste.

                C’est la« Vie du Christ »de Strauss en Allemagne[1], c’est la réplique française d’Ernest Renan[2]et la déferlante libérale rationaliste qui envahit l’exégèse (= l’explication des textes bibliques. Exemple : dans une récente prédication télévisée sur la multiplication des pains, il fut expliqué que le miracle était que les gens avaient sorti de leur poche, le pique nique qu’ils avaient préparé par avance !)

                Le christianisme est devenu une morale. Cela nous rapproche du questionnement des juifs au commencement du chapitre 6 de St Jean : « Que devons-nous faire pour travailler aux  œuvres de Dieu ? » Jésus répond : « l’œuvre de Dieu(au singulier !), c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. »

    Ce que Jésus réclame, c’est la foi parce que le christianisme n’est pas une morale, même pas d’abord une doctrine, mais une foi, une adhésion au Christ envoyé du Père ; être chrétien, c’est être une seule chair avec le Christ, un seul être avec lui.

     

                Au milieu de ce siècle rationaliste qui a contaminé profondément la foi des chrétiens – le modernisme de Loisy en France au début du 20èmesiècle et l’exégèse rationaliste -, c’est la lutte de l’Eglise contre cette redoutable déviance qui pour un croyant, fait prévaloir la raison dans sa réduction scientifique, sur la foi ! C’est la réaction par la contrainte des serments, c’est la réaction de grands théologiens – protestants comme catholiques - contre cette déviance, des moines comme Dom Chautard de Sept Fons avec son livre « L’âme de tout apostolat », comme ceux qui réfléchissaient sur la liturgie comme Dom Odon Casel ou Dom Lambert Beauduin… le renouveau patristique d’après guerre…

                Le Concile Vatican II est à la fois l’aboutissement de cette vivante rechercheet une présentation nouvelle de la vraie foi,présentation toute centrée sur la source des sacrements et surtout de l’eucharistie qui est déclarée « source et sommet » de l’être et de la vie de l’Eglise, de sa mission, de la vie des prêtres et des chrétiens…

                On est loin de la pensée commune dans notre pays d’une foi devenue pure morale… et d’une morale qu’on peut acquérir par soi-même d’où le baptême suivi de rien d’autre ! On est loin de vivre cela dans nos paroisses !! Vatican II n’a pas été vraiment reçu chez nous.

                D’où notre année eucharistique entre nos paroisses du Centre ville dont nous reparlerons bientôt, pour retrouver le centre de notre vie chrétienne et savourer la joie de la vivre chaque semaine.

                Une dernière remarque : chers frère set sœurs, il y a parmi vous de retraités… je ne dirai pas qu’ils n’ont rien à faire… je sais la garde des petits enfants et les voyages familiaux. Mais malgré tout, je reste stupéfait de vous voir si peu aux messes de semaines ! Vous ne ferez pas croire que vous n’avez pas le temps… une fois ?? Venir la semaine, c’est du « gratuit » qui montre qu’on sort de l’obligation dominicale (quelle horreur !)… qu’on veut davantage s’approcher du Seigneur…

     

    [1]Parue en 1835  et traduite aussitôt par une force du rationalisme français Emile Littré en 1839 ! pour le 1ervolume et 1853 pour le 2ème.

    [2]Vie de Jésus1863

  • Assomption

    Mardi 14 août ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE

    18H Bonsecours

    21H30 : Procession aux flambeaux et veillée de prière à Bonsecours

    Mercredi 15 août

    11H crypte St Pierre

    17H30 à Bonsecours : vêpres et salut du St Sacrement

  • Le Royaume de Dieu

    Billet spirituel.                                                                                  11èmedimanche dans le temps. B

                Le « Royaume des cieux ou de Dieu » voilà bien une expression propre à Jésus dans sa prédication… 157 fois dans les Evangiles.

                Le Royaume de Dieu « n’est pas de ce monde »[1],c’est dans le cœur des hommes que cette royauté s’exerce. Le projet divin en créant l’humanité – « son merveilleux dessein »[2]comme dit St Paul – c’est de « récapituler tout dans le Christ »,créer une seule humanité et l’unir à Lui dans la communion divine et la vie éternelle. Pour dire autrement, Dieu crée l’humanité pour en faire une Eglise, dont l’Eglise de la terre en est le commencement : quand sur la place St Pierre, on vous annonce qu’il y a présentes 115 nationalités différentes, on mesure là que cette humanité une est commencée dans l’Eglise du Christ par le Christ et son Esprit. St Paul résume cette vision grandiose en 4 mots : « Dieu tout en tous ».[3]

                Ce dessein divin avait été donné à l’homme au 1erjour de création : c’est la lumière qui « fut » créée[4]… et retirée, perdue pour l’homme, quand il n’a pas voulu entrer dans cette Alliance. Seuls quelques-uns connurent ce dessein : Abraham, Moïse, les prophètes… les justes, puisqu’il est écrit dans le Psaume 96 : « Une lumière est  semée pour le juste ». St Paul a bien raison quand il écrit aux Corinthiens, extrait que nous lisions à l’instant : « nous cheminons dans la foie et non dans la claire vision ».[5]

                Jésus explique, à la fin du discours des paraboles, qu’il révèle « des choses cachées depuis les origines »[6]…ce dessein divin donc, ce mystérieux royaume de Dieu.

                Deux petites paraboles ce dimanche :

                La première insiste sur la certitude de la réalisation de ce dessein divin qui s’opère dans le secret de la terre de l’histoire – comme la petite gaine semée – qui pousse, que le cultivateur dorme ou soit éveillé, par la seule force de Dieu – « tu ne sais comment » - et qui aboutit à la moisson fructueuse. Certes, il faut semer le grain, c’est notre tâche de croyants. Le reste c’est « Dieu qui donne la croissance. »[7]

                La seconde parabole insiste sur la disproportion entre la petitesse de la graine semée – la moutarde – et le résultat final « un grand arbre où tous les oiseaux du ciel viennent y faire leur nid »[8].Jésus est très optimiste et même « un peu de Marseille » comme on dit,  en exagérant la grandeur de cette plante : mais c’est pour montrer la belle réussite divine et son ampleur.

                Même si à certains moments nous croyons voir le Mal vainqueur, Jésus nous détourne de cette vision par un acte de foi en la réussite divine que nous ne voyons pas encore mais qui est certaine depuis que la Croix est victorieuse dans la Résurrection de Jésus.

     

    [1]St Jean 19/36

    [2]Ephésiens 1/9-10

    [3]1 Co. 15/28

    [4]Genèse 1/2

    [5]2 Co. 5/6

    [6]Mt 13/31-35

    [7]1 Co. 3/2

    [8]St Marc  4/26-34

  • Pèlerinage paroissial à Reims et à Notre Dame de l’Epine.

    Bien chers paroissiens et amis de notre blog paroissial,

                Je vous invite vivement à consulter su ce blog les deux albums de photos de notre récent pèlerinage paroissial à Reims et à Notre Dame de l’Epine.

     

                L’album sur la cathédrale vous propose de merveilleuses photos sur la façade : le couronnement de la Vierge, le baptême de Clovis, la galerie des Rois de France, le beau portail droit du Christ Ressuscité, le gauche de la Passion et de belles statues des personnages bibliques et des scènes du Nouveau testament. La clé de lecture de cette façade – de toute l’histoire du salut - est donnée par la scène biblique de Goliath vaincu par David, la fragilité en Dieu est plus puissante que la force humaine la plus déployée !

                Puis viennent les sculptures du revers de la façade évoquant, à droite, l’histoire de l’Ancien Testament jusqu’à Jean Baptiste « qui met la cognée à l’arbre » et à gauche la famille de Marie. La Rosace chante la gloire de Marie (le couronnement de sculpture est au revers) et en dessous une galerie de vitraux montre la célébration d’un sacre royal.

                Puis viennent les deux rosaces du transept : à gauche, la création avec en haut la Vierge Marie qui porte l’enfant… Le Fils de Dieu se fera un jour du temps créature pour sauver ce monde… et en face, la Résurrection du Christ et la rénovation du cosmos et de l’homme.

                On peut voir aussi des vitraux modernes en particulier de Chagall et du peintre  allemand Imi Knoebel.

                Nous avons fait une belle visite de ce lieu saint, avant et après avoir célébré l ‘eucharistie de l’Ascension avec la paroisse de la cathédrale, au sein d’une assemblée nombreuse de catholiques rémois et de touristes.

                Le second album nous fait entrer dans la magnifique basilique romane de St Remy où est enterré le saint évêque… dans un tombeau magnifique que vous pourrez admirer. L’église est d’une très grande légèreté et de vastes proportions.

                Enfin, Notre dame de l’Epine au diocèse de Chalons en Champagne. Du 15èmesiècle. De la dentelle… et à l’intérieur, un beau jubé surmonté d’un calvaire avec Marie et Jean intercesseurs, un beau sépulcre, la petite statue de la Vierge miraculeuse et un beau puits. C’est là que nous avons prié un bel office d’attente de l’Esprit Saint.

    Reims - 2.jpg

    La châsse des reliques de St Remy

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    sculpture du tombeau : Remy baptise Clovis

    Les photos sont de Martine Boiché et Jean Paul Baer. Merci à eux deux.

    Vous pouvez également atteindre directement les albums photo sur la colonne de gauche. Cliquer sur une photo pour commencer le diaporama.

  • NEUVAINE A LA VIERGE MARIE

    SANCTUAIRE 

     

    NOTRE DAME

     

    DE BONSECOURS

     

     

    LES DIMANCHES

     

    13

    20

    27

    MAI

     

    16H30

     

    Prière mariale

    Et

    Salut du St Sacrement.

     

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  • Sermon de la Vigile pascale 2018

    1 – quel Evangile déroutant… 8

             Les femmes n’ont l’air d’avoir pour grande préoccupation que l’enlèvement de la pierre du tombeau… comme d’ailleurs autrefois Rachel se demandait qui lui enlèverait la pierre qui était grande et qui fermait le puits. Le commentaire des rabbins disaient : « le patriarche Jacob revêtu d’une rosée de résurrection avait pu lui tout seul déplacer la pierre. » Vous avez entendu « une rosée de résurrection » ! Quelle magnifique formule ! Elle conviendrait bien à notre Jacob – il y a ici plus que Jacob – le Christ Ressucité.

             Et après le message de l’ange, elles s’enfuient et ne disent rien !

             Pourquoi ? Personne n’attendait la résurrection maintenant. Pour la fin des temps oui ! et pour tous… Mais pour un tout seul ? Tout est si neuf, inattendu, impensable, incompréhensible… Les apôtres eux mêmes comme les saintes femmes, durent voir, entendre, toucher, palper même comme dit Jésus, embrasser, manger avec lui comme dit Pierre…pour devenir croyants. La résurrection est si charnelle !! Tout passe par les sens qu’il faut en même temps dépasser… « Ne me retiens pas ! »

    2 – Mais pourquoi St Marc arrête-t-il brutalement son évangile comme cela ? Nous savons bien que la suite des quelques versets n’est pas de lui. Pourquoi ne rien montrer des manifestations de Jésus ? Une belle hypothèse : cet évangile était lu en entier aux futurs baptisés avant leur baptême. Tout s’arrêtait brutalement : ils étaient conduits à la piscine baptismale, vivaient leur baptême puis habillés de blanc et un cierge à la main, ils entraient dans l’église et là, le signe magnifique de la Résurrection de Jésus leur était donné : l’EGLISE, l’Eglise de Jésus assemblée elle est qui est née de la Pâque du Seigneur. Cette Assemblée sainte de l’Eglise, c’est le peuple de Dieu le Père, c’est le Corps du Christ ressuscité selon le témoignage même de Jésus qui dit à Paul sur le chemin de Damas, qui dit au persécuteur des chrétiens : Pourquoi ME persécutes-tu ? Toucher au chrétien c’est toucher au Christ. Cette Eglise enfin est le temple de l’Esprit Saint.

             Voilà le Ressuscité Total si je puis dire, le Christ-Eglise, le Christ total dont parle St Augustin. La rencontrer cette Eglise, c’est rencontrer le Christ.

     

             C’est l’Eglise des martyrs qui ont donné leur vie pour attester leur foi en Christ et leur amour débordant pour Lui, « fous » pour le Seigneur. Martyrs des premiers siècles, martyrs si nombreux de nos jours.

             Cette Eglise, c’est l’Eglise des Saints, de tous âges et de toutes conditions jeunes comme Dominique Savio ou Pier Giorgio Frassati, ouvrier comme Marcel Callo, professeur d’université et homme politique comme Frédéric Ozanam, servante des pauvres mourants comme Mère Teresa ou St Rosalie Rendue du quartier Mouffetard en plein Paris misérable du 19è siècle… bergère comme Bernadette Soubirous à Lourdes, Pape comme St Jean Paul II ou St Paul VI, reines comme Mathilde ou Elisabeth de Hongrie.

             Cette Eglise, c’est ce soir cette noble et pauvre assemblée de disciples à Bonsecours : nobles et saints car Dieu habite en chaque chrétien et rayonne à partir de lui, pauvres car, en même temps, bien faible, fragile, pécheur si facilement… Cette Eglise pauvre et petite, Jésus l’aime avec tendresse. Jean Luc, ne craignez pas de vivre en elle et d’être reçue à la table du Christ avec elle.

     

    3 – Cette noble et pauvre Eglise vous donne aujourd’hui, à vous Jean-Luc et à vos enfants Yvan et Ambroise, vous donne son plus beau trésor : le Christ ressuscité qui l’habite, l’Esprit Saint qui est déposée en elle pour le donner. Elle vous donne avec joie la Nouveauté de Dieu pour vous renouveler au point de faire de vous, et chacun de vos enfants, un homme nouveau, pour illuminer votre intelligence et vous faire connaître le mystère de Dieu. Cette Eglise noble et pauvre veut vous accueillir sans vous accaparer, vous accompagner sans vous forcer à un chemin unique.

             Mais en même temps, cette Eglise attend de vous une chose : votre jeunesse dans la foi, votre émerveillement pour réveiller le nôtre, vos questions pour nous pousser à approfondir notre foi, vos remarques pour grandir dans la sainteté. Vous le voyez, c’est un échange de cadeaux… car la communauté de Jésus se nourrit fondamentalement du Don de Dieu et du partage entre frères et sœurs.

             Yvan et Ambroise vont suivre un autre chemin tout aussi beau et fort : une découverte au fur et à mesure de leur avancée en âge, un patient apprentissage de l’Evangile jusqu’au moment où ils auront à ratifier ou non le baptême reçu ce soir.

     

             Voilà qui est aujourd’hui la Présence du Ressuscité : l’Eglise… et dans ce quartier la noble et petite communauté de St Pierre Bonsecours dont Jean-Luc vous faites déjà partie depuis votre entrée en catéchuménat.

             Nous naissons sans cesse de la Résurrection du Seigneur, nous vivons d’abord fondamentalement de l’Eucharistie du Seigneur, de sa Parole, de son Esprit Saint et de l’échange de foi entre nous. Nous vous invitons à vivre cette humble vie chrétienne avec nous, selon votre grâce, vos possibilités et ce que le Seigneur saura bien vous suggérer. Nous vous accueillons avec garde joie. Amen

  • Les saints lorrains

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    Visite sur les lieux fondateurs de la Doctrine Chrétienne

     

    Sam. 7 avril 2018


    TOUL : Cathédrale (tombe de Vatelot), Mère-école (école normale ) des sœurs.

    LUCEY : Tombe du Père Varnerot et son église.

    BRULEY : Maison natale du Père Jean Baptiste Vatelot

    Lecture du testament de Varnerot et d’un texte spirituel de la Doctrine Chrétienne

     

               avec le Père Jacques BOMBARDIER et Martine BOICHÉ

    rendez-vous :
    au Centre spirituel à 8h pour partir en covoiturage. Retour en fin de matinée.

    ou à 9h
    à la cathédrale de Toul


    renseignements 06 50 83 85 17