ADORATION DU SAINT SACREMENT
CHAQUE MARDI DE 15H À 18H à l’oratoire St Jean Marie Vianney de l’église St Pierre.
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CHAQUE MARDI DE 15H À 18H à l’oratoire St Jean Marie Vianney de l’église St Pierre.
LUNDI 21 Novembre à Bonsecours
18H15 Vêpres enseignement sur le Concile (La constitution sur l’Eglise Lumen Gentium suite)
19H Messe
Trente cinq paroissiens de St Pierre se sont rendus en pèlerinage aux sources de la foi dans notre diocèse, à Toul sur le tombeau de St Mansuy premier évêque dans la seconde moitié du 4ème siècle puis à Soulosse au tombeau de St Elophe et à Grand au tombeau de Ste Libaire, deux martyrs sous Julien l’Apostat (362-365). Ces martyres sous Julien l’Apostat et l’arrivée de St Mansuy montrent que l’évangélisation de notre région est plutôt tardive. Ainsi les grandes persécutions précédant la Paix de l’Eglise par Constantin en 313 n’ont pas sévi chez nous.
Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de chrétiens ! mais ils étaient si peu nombreux et sans doute très effacés. Le fait que St Mansuy ait édifié son oratoire hors les murs de la ville gallo-romaine de Toul, au futur faubourg St Mansuy, en est une confirmation.
Cet oratoire fut dédié à St Pierre : cette décision de notre premier évêque donne une orientation toute claire : le lien apostolique de notre Eglise est avec Pierre… tout comme celui de Lyon est avec Jean.
Voici quelques photos de ce pèlerinage avec des temps de prière sur chaque tombeau :
MANSUY : la chapelle en ruines qui fut élevée au dessus de son tombeau. On devine les deux descentes dans la crypte de chaque côté de ce que fut l’autel.
Sur le tombeau de St Elophe, la très belle église gothique et le magnifique tombeau renaissance de St Elophe, portant sa tête sur son cœur : signe de l’unification de tout son être, l’intelligence (la tête) étant passée dans le cœur !
Les reliques de St Elophe rendue par la cathédrale de Cologne qui les avait reçues de St Gérard au Xème siècle, en repentance pour la destruction de la cathédrale de St Dié.
L’église St Elophe sur sa colline, pendant que les pèlerins se rendent au lieu du martyre de St Elophe, au bord du Vair, la chapelle Ste Epéotte.
A Grand, sanctuaire construit dans els années 70-140 de notre ère, accueillait beaucoup de pèlerins venant se faire soigner auprès de Apollon.
213 Visite de l'empereur Caracalla.
309 : Visite l'empereur Constantin Ier. C'est dans le temple d'Apollon de Granum que Constantin aurait adopté le culte solaire de Sol Invictus, comme le confirment les monnaies qu'il frappe à l'époque, dédiées à SOLI INVICTO.
362 :martyre de saint Élophe et de sainte Libaire sous le règne de l'empereur Julien l'Apostat.
La ville de Grand était équipée d’un magnifique amphithéâtre :
Le groupe dans l’amphithéâtre. Puis nous sommes allés voir la magnifique mosaïque d’une des basiliques de la ville sanctuaire.
Non loin de là, à la seconde borne milliaire, Ste Libaire fut martyrisée. Nous nous sommes rendus auprès de la chapelle en réfection pour prier :
A télécharger ici
Fête de la Toussaint
Lundi 31 Octobre : 18H Messe à Bonsecours
Mardi 1er Novembre : 11H Messe à St Pierre au cours de laquelle nous prierons pour le Père Christian GREGOIRE à l’occasion de son 90ième Anniversaire
Jour de prière pour les défunts
Mercredi 2 novembre :
9h30 messe à Bonsecours
19h messe à Saint Pierre
Constitution Lumen Gentium, enseignement du 7 Oct. 2011
CHAPITRE PREMIER : Le Mystère de l’Église
6. Les diverses images de l’Église
Tout comme dans l’Ancien Testament la révélation du Royaume est souvent présentée sous des figures, de même maintenant c’est sous des images variées que la nature intime de l’Église nous est montrée.
L’Église, en effet, est le bercail dont le Christ est l’entrée unique et nécessaire. Elle est aussi le troupeau dont Dieu a proclamé lui-même à l’avance qu’il serait le pasteur
L’Église est le terrain de culture, le champ de Dieu. Dans ce champ croît l’antique olivier dont les patriarches furent la racine sainte et en lequel s’opère et s’opérera la réconciliation entre Juifs et Gentils. Elle fut plantée par le Vigneron céleste comme une vigne choisie.
Bien souvent aussi, l’Église est dite la construction de Dieu. Le Seigneur lui-même s’est comparé à la pierre rejetée par les bâtisseurs et devenue pierre angulaire. Sur ce fondement, l’Église est construite par les Apôtres. Cette construction est décorée d’appellations diverses : la maison de Dieu, celle dans laquelle habite la famille, l’habitation de Dieu dans l’Esprit, la demeure de Dieu chez les hommes, et surtout le temple saint, comparé à juste titre dans la liturgie à la Cité sainte, la nouvelle Jérusalem. En effet, nous sommes en elle sur la terre comme les pierres vivantes qui entrent dans la construction
L’Église s’appelle encore « la Jérusalem d’en haut » et « notre mère » ; elle est décrite comme l’épouse immaculée de l’Agneau immaculé que le Christ « a aimée, pour laquelle il s’est livré afin de la sanctifier ».
Tant qu’elle chemine sur cette terre, loin du Seigneur, l’Église se considère comme exilée,… tournée là où le Christ se trouve, assis à la droite de Dieu, là où la vie de l’Église est cachée avec le Christ en Dieu, attendant l’heure où, avec son époux, elle apparaîtra dans la gloire.
Commentaire : L’Eglise est comme le sacrement de l’union intime avec Dieu et de l’unité du genre humain. Elle vient du Père qui veut rassembler un en seul peuple l’humanité entière, elle est réalisée par le Christ venu sur terre et elle est animée par l’Esprit Saint. Elle est l’Eglise de la Trinité, source de son unité.
Pour guérir une vision trop sociétaire de l’Eglise, le concile dresse la liste des images utilisées pour décrire la nature de l’Eglise. Elles viennent de l’Ancien testament, de la bouche des prophètes et du Christ. Aucune ne peut toute seule dire l’Eglise ! Et l’Eglise est autant annoncée dans l’Ancien que dans le Nouveau testament.
Toutes les images ont Dieu à l’initiative de l’Eglise : comme Berger, vigneron, constructeur, greffeur, époux, …
L’Eglise, depuis le départ du Christ à l’Ascension, se sait « en exil », comme « veuve » : c’est pourquoi le veuvage a été si important dans les premières communautés chrétiennes, un soin particulier des veuves « figures de l’Eglise loin de son Seigneur ».
… voir comment l’Eglise a commencé…
… la vie des premiers chrétiens,
leurs réussites, leurs difficultés…
Grâce à l’ouvrage écrit par St Luc,
Enrichi des découvertes de l’histoire et de l’archéologie,
Nous pouvons vivre en direct l’épopée chrétienne à ses débuts.
Première rencontre :
Mardi 18 octobre 20H30 salle St Vincent de Paul
(sous l’église St Pierre )
Entrée en face de l’Etablissement français du sang.
Les membres des conseils paroissiaux (pastoral et économique) ainsi que les responsables des différents services de la communauté (financier, catéchétique, préparation au mariage, mouvement chrétien des retraités, service de la liturgie...) se sont retrouvés à Domremy pour un temps de convivialité et une visite à la Communauté des Travailleuses Missionnaires établies à Domremy (ancien carmel et restaurant de l'accueil) dont fait partie une de nos animatrices de chants de la paroisse. Nous avons été très chaleureusement accueillis par la communauté avec des danses et des animations pendant le repas et une belle présentation de leur action. Puis après un temps passé à la basilique de Ste Jeanne D'arc et la méditation de l'enseignement de Benoît XVI sur Jeanne d'Arc nous avons chanté les vêpres à al chapelle du carmel avec les Travaillleuses missionnaires.
Vendredi 7 Octobre
Pas de Messe à 9H à St Pierre, mais à Bonsecours
18H15 Vêpres chantées de N.D. du Rosaire et enseignement sur le concile
19H Messe chantée
Samedi 8 Octobre
10H15- 11H45 rencontre de catéchèse
7 – 8 – 9 Octobre Salon des Religions à l’ASNEE
Constitution Lumen Gentium
Chapitre 1 (suite)
2. Le dessein universel de salut du Père éternel Le Père éternel… a créé l’univers ; il a voulu élever les hommes à la participation de la vie divine ; devenus pécheurs en Adam, il ne les a pas abandonnés, … Tous ceux qu’il a choisis, le Père, avant tous les siècles, les « a distingués et prédestinés à reproduire l’image de son Fils qui devient ainsi l’aîné d’une multitude de frères ». Et tous ceux qui croient au Christ, il a voulu les convoquer dans la sainte Église qui,
annoncée en figure dès l’origine du monde, merveilleusement préparée dans l’histoire du peuple d’Israël et de l’ancienne Alliance établie enfin dans ces temps qui sont les derniers, s’est manifestée grâce à l’effusion de l’Esprit Saint et, au terme des siècles, se consommera dans la gloire. …
3. La mission et l’œuvre du Fils Ainsi le Fils vint… pour accomplir la volonté du Père,… Il inaugura le Royaume des cieux sur la terre, tout en nous révélant son mystère et, par son obéissance, effectua la rédemption. L’Église, qui est le règne de Dieu déjà mystérieusement présent, opère dans le monde, par la vertu de Dieu, sa croissance visible. … les paroles du Seigneur disant de sa mort en croix : « Pour moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai tous les hommes ».
Toutes les fois que le sacrifice de la croix … se célèbre sur l’autel, l’œuvre de notre Rédemption s’opère. En même temps, … est représentée et réalisée l’unité des fidèles qui, dans le Christ, forment un seul corps. À cette union avec le Christ, … tous les hommes sont appelés.
4. La sanctification de l’Église par le Saint-Esprit Une fois achevée l’œuvre que le Père avait chargé son Fils d’accomplir sur la terre, le jour de Pentecôte, l’Esprit Saint fut envoyé qui devait sanctifier l’Église en permanence et procurer ainsi aux croyants, par le Christ, dans l’unique esprit, l’accès auprès du Père. … L’Esprit habite dans l’Église et dans le cœur des fidèles comme dans un temple , en eux il prie et atteste leur condition de fils de Dieu par adoption.
Cette Église qu’il introduit dans la vérité tout entière , et à laquelle il assure l’unité de la communauté et du ministère, il bâtit et la dirige grâce à la diversité des dons hiérarchiques et charismatiques, il l’orne de ses fruits. Il fait la jeunesse de l’Église et la renouvelle sans cesse, l’acheminant à l’union parfaite avec son époux.
5. Le Royaume de Dieu Le mystère de l’Église sainte se manifeste en sa fondation : le Seigneur Jésus posa le commencement de son Église en prêchant l’heureuse nouvelle, l’avènement du règne de Dieu promis dans les Écritures depuis les siècles.
Ce Royaume, il brille aux yeux des hommes dans la parole, les œuvres et la présence du Christ. Les miracles de Jésus confirment également que le Royaume est déjà venu sur la terre
Avant tout cependant, le Royaume se manifeste dans la personne même du Christ, Fils de Dieu et Fils de l’homme.
Et quand Jésus fut ressuscité, il répandit sur ses disciples l’Esprit promis par le Père. Aussi l’Église, pourvue des dons de son fondateur, et fidèlement appliquée à garder ses préceptes de charité, d’humilité et d’abnégation, reçoit mission d’annoncer le Royaume du Christ et de Dieu et de l’instaurer dans toutes les nations, formant de ce Royaume le germe et le commencement sur la terre.
Cependant, tandis que peu à peu elle s’accroît, l ‘Eglise aspire à l’achèvement de ce Royaume, espérant de toutes ses forces et appelant de ses vœux l’heure où elle sera, dans la gloire, réunie à son Roi.
L’Esprit et l’Épouse, en effet, disent au Seigneur Jésus : « Viens». Ainsi l’Église universelle apparaît comme un « peuple qui tire son unité de l’unité du Père et du Fils et de l’Esprit Saint ».
Commentaire
- rappels de la dernière fois :
Eglise : sacrement de l’union intime avec Dieu et union du genre humain
Eglise vue comme une femme, épouse du Christ (« visage de l’Eglise » qui reflète la Lumière qu’est le Christ)
Ceci est illustré par la statue de Notre Dame de Bonsecours
- commentaire du texte d'aujourd'hui (voir ci-dessus)
voulue par le Père de toute éternité,
inaugurée par le Fils,
sanctifiée et animée par l’Esprit, « Ainsi l’Eglise universelle apparaît comme un peuple qui tire son unité du Père et du Fils et de l’Esprit » (4)
le Royaume de Dieu a été promis durant des siècles
Jésus a annoncé son commencement… en Lui :
Le Royaume de Dieu c’est l’union des hommes avec Dieu, l’union des hommes entre eux, quand il est accompli, « Dieu est tout en tous ».
« Le règne de Dieu déjà mystérieusement présent » (3) (contre Loisy : le christ a prêché le règne de Dieu et c’est l’Eglise qui est venue » Nombreuses tentatives modernes de séparer le Royaume et l’Eglise, comme le Christ et l’Eglise), Elle l’instaure dans toutes les nations (5)
(allusion aux paraboles du royaume)
Par la prédication du Christ (parole, œuvres et personnes cf 5) et la célébration de l’eucharistie qui unit à Dieu par le Christ et unit les fidèles entre eux. (3) L’eucharistie, est l’eucharistie du Royaume.
Aux origines du christianisme
1ère rencontre : 18 octobre 20H30 dans la salle St Vincent de Paul
Vendredi 11 novembre 13H-18H Sortie paroissiale…
Aux origines du christianisme dans notre région : Toul St Mansuy, St Elophe et les martyrs de Grand.
Lecture des Actes des Apôtres : les 15 nov, 6 déc, 17 janv, 28 fév, 27 mars, 24 avril,
Mardi 8 mai toute la journée : Pèlerinage paroissial à Trêves sur la tombe de l’apôtre St Matthias et de la Ste Tunique.
Durant les vacances de la Toussaint 2012, pour conclure cette lecture des Actes des Apôtres, pèlerinage paroissial à Rome.
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Introduction
En octobre 2012, nous fêterons le 50ème anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II par le Bienheureux Jean XXIII. Ce concile a fait couler beaucoup d'encre et attiser beaucoup d'oppositions... comme tous les conciles précédents d'ailleurs. Beaucoup d'ardents partisans ou de farouches opposants en parlent... sans jamais l'avoir lu. Qui saurait dire les différentes Constitutions et leur sujet traité ? On en parle mais on le l'a pas lu. Le diagnostic lapidaire du cardinal Lustiger est bien vrai: "en France, il n'y a pas eu d'après-concile mais seulement un après 1968." C'est donc le moment de reprendre le Concile et le le lire. Ma contribution est modeste et il existe bien des commentaires à consulter. Mon intention est de lire les extraits majeurs, d'en faire une présentation compréhensible et de donner le goût de poursuivre. Mon commentaire ne dit pas tout,; il insiste sur un ou deux points, ceux qui me semblent "clés" selon mon expérience de pasteur depuis 35 ans. Je serai délibérément incomplet: si vous cherchez un commentaire complet, passez votre chemin et allez consulter les auteurs. Mais si vous n'avez jamais lu ou jamais pu avancer dans la lecture, tentez mon expérience!
Première intervention
CHAPITRE PREMIER : Le Mystère de l’Église 1 - Le but de la Constitution sur l’Église
Le Christ est la lumière des peuples ; réuni dans l’Esprit Saint, le saint Concile souhaite donc ardemment, en annonçant à toutes les créatures la bonne nouvelle de l’Évangile répandre sur tous les hommes la clarté du Christ qui resplendit sur le visage de l’Église (cf. Mc 16, 15). L’Église étant, dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c’est-à-dire à la fois le signe et le moyen de l’union intime avec Dieu et de l’unité de tout le genre humain, elle se propose de mettre dans une plus vive lumière, pour ses fidèles et pour le monde entier, en se rattachant à l’enseignement des précédents Conciles, sa propre nature et sa mission universelle.
COMMENTAIRE
Le concile veut, dans ce texte, « mettre en plus vive lumière la nature et la mission universelle de l’Eglise. »
Nature : Eglise dans le Christ comme le SACREMENT (= Mystère même sens) de
A – union intime avec Dieu
B - unité du genre humain.
Le texte donne le sens du mot « sacrement » : à la fois signe et moyen. Le sacrement montre et donne le salut dans le même mouvement. Le salut, c’est ici indissociablement, l’union intime avec Dieu et l’unité du genre humain. La même charité unit à Dieu et unit les hommes entre eux. Les sacrements donnés dans l’Eglise sacrement réalisent ce projet.
Mission : annoncer que l’union intime avec Dieu et l’union des hommes est le dessein de Dieu et que dans le Christ, cette double union est possible et en train de se réaliser dans l’Eglise.
Ce « Dans le Christ » est capital : d’ailleurs les premiers mots de la Constitution parle du Christ et secondairement de l’Eglise ! C’est « la clarté du Christ qui resplendit sur le Visage de l’Eglise. »
A cause de l’histoire, du XIVème siècle eu XIXème siècle, l’Eglise s’est beaucoup définie dans les derniers siècles comme « une société parfaite », c’est-à-dire comme une société qui a toute sa consistance et n’a pas besoin de s’appuyer sur l’Etat ou la force politique. (pour résister aux juristes de Philippe le Bel comme à la volonté des souverains de dominer l’Eglise. Les communautés protestantes séparées de l’Eglise se sont toutes appuyées sur l’Etat au point de devenir des « Eglises d’Etat » comme en Prusse, en Suède ou à Genève.)
Cette manière de voir a eu des avantages : l’unité catholique a été préservée, la résistance aux Etats totalitaires plus forte, l’originalité de l’Eglise face au monde mieux montrée, la place du Pape mieux définie.
Il y eut aussi des inconvénients : l’Eglise est surtout regardée du point de vue institutionnel ! du côté de l’affirmation du pouvoir, de l’autorité… Le Concile veut, sans perdre les acquis, renouer avec une vision plus large, plus spirituelle, plus patristique de l’Eglise, plus organique qu’organisationnelle et plus unifiée : sacrement de l’union intime avec Dieu et union du genre humain
Saint Pierre
Mercredi 14 sept. : 18h, La CROIX GLORIEUSE DU SEIGNEUR
Bonsecours
Jeudi 15 sept. Notre DAME des DOULEURS
18H15 vêpres et enseignement
19H messe