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Saint Pierre-Bonsecours - Page 71

  • Méditation du lundi de la 3ème semaine de carême

    La méditation est faite à partir des lectures du dimanche

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    Terre Sainte 2009 - maquette de Jérusalem au temps du Christ - le Temple

    Attardons-nous aujourd’hui pour bien voir le Temple où se passe la scène de l’Evangile de dimanche. Souvent à la fin de la bible se trouve un plan du Temple : on y voit la grande esplanade agrandie par Hérode où le peuple en foule se rassemble aux fêtes, puis au centre le Temple proprement dit : la cour des femmes, la cour des hommes et des prêtres, enfin le Temple lui-même : une première salle (= le Saint), le Rideau du temple puis le Saint des Saints, là où le grand prêtre entre seulement le jour du Grand Pardon pour demander à Dieu pardon pour toutes les fautes de l’année. Dans le St des Saints se trouvaient l’Arche de l’Alliance et un peu de manne. Dans le Temple du temps de Jésus, il n’y avait plus rien, le vide car tout avait été détruit à la prise de Jérusalem en 586. Dans ce temple, on offrait des sacrifices (d’où la présence de marchands d’animaux) chaque jour, dont un pour le peuple et un pour l’empereur. Il y avait un office 7 fois par jour avec des chants de psaumes, de la musique et puis toutes les dévotions privées. Le Temple est un lieu de joie : « Jubilez, criez de joie dans Sion (= Jérusalem) car il est Grand au milieu de toi le Seigneur » demande Isaïe.

    Il y avait en Israël un grand amour et une grande joie de la Présence de Dieu. Que le Seigneur m’accorde la joie de vivre toute cette journée en sa Présence.

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    Terre Sainte 2009 - maquette de Jérusalem au temps du Christ - le Temple

  • Méditation du samedi de la 2ème semaine du carême

    Les lectures de la méditation sont ICI

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    Depuis le premier péché, une immense nostalgie habite le cœur de l’homme : nostalgie de plénitude qui le taraude sans qu’il sache vraiment qui pourrait le combler. C’est cette nostalgie de plénitude qui nous rend si fragile à la tentation : nous cherchons à combler ce vide immense en nous par la nourriture et la possession des biens, par la gloire humaine, par le pouvoir. L’Evangile d’aujourd’hui est bien dans la continuité de celui des tentations au désert de dimanche dernier : mais aujourd’hui nous voyons qui peut combler ce cœur humain. St Augustin dans les Confessions l’a magnifiquement dit : « Tu nous as faits pour Toi Seigneur et notre cœur st sans repos tant qu’il ne demeure en Toi ». Que la lecture de cette page d’Evangile vécue dans la Sainte Liturgie, nous bouleverse au fond de notre coeur: qu’elle brise en nous les résistances du vieil homme qui veut garder tout pour soi ! Nous avons reçu le Corps ressuscité du Seigneur : qu’il  achève en nous la transfiguration de notre être commencée au baptême.

    Ce samedi est un samedi de joie après toute cette méditation de la semaine : je laisse aller mon allégresse et ma confusion devant un tel appel de Dieu à mon égard. Qui a dit que le carême est triste ?

  • Méditation du vendredi de la 2ème semaine de carême

    Les lectures de la méditation sont ICI

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    Dans la mesure où nous aimerons le Fils, nous serons unis à Lui et nous recevrons l’amour du Père qui est destiné à son Fils et à tous ceux qui sont fils dans le Fils. Jésus nous l’a enseigné : Celui qui garde les Paroles de Jésus et els met en pratique aime Jésus. Alors celui-là est aimé du Père parce qu’il aime le Fils tant aimé du Père ! Le Père et le Fils viennent alors DEMEURER dans le cœur et l’être d’un tel disciple. L’amour du Père donné au Fils Unique rejaillit sur les fils unis au Fils et les fils unis au Fils peuvent à leur tour rendre au Père l’amour du Fils Unique auquel ils sont unis. Voilà comment un disciple qui garde la Parole aime le Père dont il est aimé. Cette magnifique unité se réalise sous la conduite douce et ferme de l’Esprit Saint qui, nous dit la prière eucharistique IV, « poursuit l’oeuvre du Christ et achève toute sanctification. »

    Je rends grâce pour un tel appel. Je manifeste au Christ et au Père dans l’intimité de mon être mon amour, mon désir de garder la Parole de Jésus… je me remémore toutes les paroles de Jésus que je connais par cœur et je demande la grâce de les vivre pleinement.

  • Méditation du jeudi de la 2ème semaine de carême

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    Ce n’est que peu à peu, que nous découvrons cette qualité de l’amour divin: un amour de don mutuel sans rien garder pour soi. Le Père aime le Fils en se donnant tout entier à Lui, il n’est que don. Le Fils se reçoit tout entier du Père et se donne à Lui sans rien garder pour soi et l’Esprit est ce don et ce baiser du Père et du Fils: pur don, pure réception, pure union.

    Voilà notre Dieu, voilà comment en ce moment Dieu m’aime, voilà l’amour où nous sommes appelés à vivre éternellement. Je reste tout ce jour ébloui devant un tel amour.

  • Méditation du mercredi de la 2ème semaine de carême

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    Nous serons d’autant plus surpris qu’Il nous parle ! Car il y a une parole divine pour nous ! C’est la Parole du Père. Cette parole nous fait entrer dans l’intimité de la Trinité Sainte. Nous sommes pris dans la Nuée avec les apôtres, c’est-à-dire, comme le pensaient les Pères de l’Eglise, dans l’Ombre de l’Esprit Saint. « Une nuée lumineuse les couvrit de son ombre »: même expression que l’ange pour parler à Marie de la venue de l’Esprit Saint sur elle dans l’évangile de St Luc. Nous sommes avec les apôtres pris dans l’Esprit. Et l’Esprit nous a conduit à voir la splendeur de Jésus transfiguré et à entendre la parole du Père qui retentit: « Celui-ci est mon Fils bien aimé, en qui j’ai mis TOUT mon amour ». Nous entendons l’identité véritable de Jésus: il est le Fils, le Bien aimé du Père. Nous découvrons un aspect de l’intimité divine: l’amour éperdu du Père pour son Fils et son désir que nous l’aimions nous aussi en l’écoutant comme il convient. Comme au baptême, Dieu nous fait entre progressivement dans son intimité, « dans sa gloire » pour parler comme l’Evangile.

    Un Fils bien Aimé : je reprends  cette expression tout ce jour, je veux la savourer totalement en l’appliquant uniquement au Christ.

  • Méditation du mardi de la 2ème semaine de carême

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    Le texte nous donne aussi à entendre: tout d’abord la conversation entre Jésus, Moïse et Elie. De quoi parlent - ils ?  Dans St Marc, nous ne savons pas. Le mystère demeure entier. C’est sans doute pour que nous attachions à la seule parole qui compte : celle que le Père nous adresse.

    Arrêtons-nous devant ce silence divin ! Nous devons nous tenir devant le Mystère de Dieu comme devant une réalité qui nous échappe totalement. Dieu est au-delà de tout ce que nous pouvons penser de Lui ou nous représenter de Lui. Nous trafiquons trop Dieu à notre Image le faisant à notre volonté comme ci ou comme ça… d’une manière sacrilège. Restons silencieux devant le silence infini de Dieu. Nous serons d’autant plus surpris qu’Il nous parle !

    Aujourd’hui je me tiens dans et devant le silence de Dieu sans aucun « remplissage »

  • Méditation du lundi de la 2ème semaine de carême

    Les lectures de la méditation sont ICI

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    En nous faisant lire ce texte, la Ste Eglise veut surtout que nous entrions avec Pierre Jean et Jacques dans le Mystère de Dieu. C’est AUJOURD’HUI que ce texte s’accomplit comme le disait Jésus dans la synagogue de Nazareth après avoir lu le prophète Isaïe. Que découvrons-nous ? Nous sommes Invités à VOIR et à ENTENDRE.

    Nous voyons d’abord la beauté du Seigneur Jésus. Son mystère profond se fait voir: Son humanité sainte est comme embrasée par la divinité, voilée jusque-là, son humanité est transfigurée : « ses vêtements dit St Marc, devinrent resplendissants d’une blancheur qu’on ne peut obtenir sur terre ». Son humanité est comme autrefois le buisson ardent: elle brûle mais ne se consume pas. C’est la Gloire du Seigneur qui apparaît; c’est sa vraie personnalité de Dieu /homme, personnalité unique, qui est manifestée. C’est elle que nous confessons quand nous disons que Jésus est « vrai Dieu et vrai homme, en une seule personne ». Le concile de Chalcédoine en donnant ces quelques mots pour dire le Christ dans sa vérité, n’a pas expliqué: il s’est contenté de maintenir entier le mystère de Jésus, que nous avons sans cesse la tentation de réduire à nos petites proportions. Ce qui est passionnant pour nous, ce n’est pas que Jésus soit humain: c’est qu’il soit cette personne humaine divine, cet humain embrasé par la divinité et ce Dieu ayant assumé notre pauvre chair humaine, sans la détruire mais en la glorifiant. C’est ce mystère-là qui est fascinant et qu’on ne se lasse pas de contempler et d’aimer.... Et à côté de cette lumière, les pauvres reconstitutions de Jésus à la mode en ce moment, sont bien tristes, fades et sans intérêt. Elles ne sont qu’un pâle reflet de nous-mêmes, Jésus à notre image.

    Aujourd’hui je garde devant les yeux ce Visage lumineux du Seigneur. Je peux m’aider d’une icône si j’ai du mal à imaginer.

  • Méditation du samedi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    La Vierge Marie peut nous enseigner à vivre ce carême. L’Evangile nous la montre exultant au Magnificat… mais généralement silencieuse, « méditant et repassant toutes choses dans son cœur. » Voilà une forme magnifique de désert ! Au sein même de sa vie quotidienne faite, comme toutes les vies, d’une multitude d’activités, parfois pénibles, et de rencontres, rien ne la distrait de l’essentiel qui est au cœur ! Rien ne la distrait de la relation intérieure à son Seigneur. Demandons-lui de se mettre à son école.

  • Méditation du vendredi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    St Pierre évoque l’épisode de l’Arche de Noé comme un baptême ! Une partie de l’humanité est sauvée à travers les eaux purificatrices du Déluge. Nous voyons donc que St pierre évoque le baptême comme une expérience non seulement personnelle mais comme une expérience ecclésiale : l’Arche est une figure de l’Eglise ! Nous pensons toujours les choses religieuses d’une manière individualiste : mon baptême, ma messe, ma manière de faire… Ce n’est pas faux : nous somme sauvés personnellement par Dieu mais ce baptême de salut nous met dans l’Arche, dans l’Eglise.

    Rendons grâce à Dieu aujourd’hui pour l’Eglise dans laquelle Dieu ma placé(e) pour mon bien ! Que serais-je devenu (e) sans elle ? Qu’est-ce qui me manque en Elle des moyens du salut ? Lui, le Christ l’aime.

  • Méditation du jeudi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    Le séjour de Jésus est historique, repérable dans le temps. Comme sa mort et sa résurrection. Son Alliance a été conclue aussi dans le temps, sous Ponce Pilate. Le texte de l’épître de St Pierre nous affirme que Jésus mort « est allé proclamer son message de salut à ceux qui étaient prisonniers de la  mort »… depuis le temps de Noé afin que tous les hommes soient atteints par son salut…. Même ceux qui étaient morts avant sa venue.

    Nous avons ainsi l’extension maximale du salut: il est pour tous les hommes le Nouvel Adam qui règne au désert sur les bêtes sauvages et qui est servi par les anges ! Extension maximale à tous les hommes de tous les temps et sur toute la terre. Mais le foyer de ce salut, le centre du paradis, c’est Jésus. Il n’y a que Lui à regarder et à aimer: il est dans le désert; rien ne peut, ne doit nous DISTRAIRE DE LUI.

    Prions pour tous les défunts afin que le salut se manifeste aussi en eux.

  • Méditation du mercredi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

     

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    Ce paradis qui vient en Jésus est pour tous les hommes. Ainsi nous enseigne la première lecture qui nous raconte l’alliance avec Noé. Toutes les premières lectures des dimanches de carême de cette  année nous rappelleront des différentes alliances: Noé, Abraham, Moïse... Elles s’accomplissent toutes dans l’alliance scellée dans le Sang de Jésus, l’Alliance nouvelle et éternelle. En Jésus elles trouvent toutes leur perfection.

    Tous les hommes ont une relation à Dieu dans le cadre d’une de ces trois alliances: elles ne sont pas seulement chronologiques, elles sont aussi de tous les temps: aujourd’hui encore, des hommes ont une relation avec Dieu selon l’alliance de Noé , les païens et les animistes des religions naturelles. C’est l’alliance avec tous les hommes, l’alliance minimale offerte par Dieu aux hommes à condition qu’ils respectent la vie. Mais cette alliance noachique est ouverte : elle ne se suffit pas à elle-même, elle est appelée à se réaliser parfaitement dans l’Alliance en Abraham (celle du peuple juif et de l’Islam), celle de Moïse (celle spécifique du peuple d’Israël) et toutes s’accomplissent dans la nouvelle et éternelle Alliance du Christ où non seulement la vie est respectée mais où la vie éternelle est donnée.

    Je prie aujourd’hui pour tous les hommes « selon leur alliance » Je demande que dans nos pays européens le respect de la vie (qui est l’alliance de base avec Noé) soit respectée «  de la conception à la mort ». Nos pays s’en éloignent et c’est très grave.

  • Méditation du mardi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    St Marc ajoute un nouveau sens au désert: Jésus est avec les bêtes sauvages et les anges le servaient. Comment comprendre ? Jésus nous est présenté comme le Nouvel Adam, qui vit dans la création réconciliée (au milieu des bêtes sauvages) et dans l’intimité avec Dieu (et les anges le servent). Le désert si dur à l’homme devient le lieu où éclot à nouveau le paradis! La personne de Jésus est elle-même le paradis; en lui et par lui vient le paradis. Isaïe avait raison: « le désert refleurit ». Quand St Jérôme vit avec son lion qui le suit comme un chien docile, quand St François d’Assise apaise le loup de Gubbio, quand il prêche aux oiseaux qui l’écoutent et le fêtent, quand St Antoine de Padoue prêche aux poissons qui l’écoutent et manifestent leur joie, ils montrent qu’en eux et par eux, disciples de Jésus réconciliés avec Dieu par le Christ, le paradis survient ! Le psaume 8 chante cet homme merveilleux qu’est le Christ: « tu l’as couronné de gloire et d’honneur...tu mets toute chose à ses pieds, même les bêtes sauvages »....le psaume chante aussi la beauté de l’homme sauvé dans le Christ: « tu l’as voulu un peu moindre qu’un dieu, tu l’établis sur les œuvres de tes mains...les bêtes sauvages, les oiseaux du ciel et les poissons de la mer ».

    Seigneur, tu m’as voulu dans le Christ « un peu moindre qu’un dieu »… ! Accorde-moi de m’aimer humblement en Toi et de ne rien faire dans ma vie qui soit en contradiction avec cette beauté que tu m’as fait être.

  • Méditation du lundi de la 1ère semaine de Carême

    Retrouvez les lectures du dimanche ICI

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    Terre sainte - Désert de Judée - 2009

    En ce premier dimanche de carême, la liturgie nous montre l’ampleur du salut, les dimensions universelles du salut apporté par le Christ. Au moment où nous commençons notre préparation à Pâques, l’Eglise veut que nous contemplions à la fois le Sauveur et les dimensions du salut.

    Contemplons le Seigneur Jésus.

    Le récit de St Marc est très bref. Nous savons le Seigneur au désert, lieu traditionnel dans l’histoire biblique des tentations et des épreuves; le désert est le creuset où fut façonné le peuple d’Israël à sa sortie d’Egypte; le désert est le lieu où Dieu conduit son épouse infidèle pour la fiancer de nouveau à Lui comme l’enseigne le prophète.; le désert est enfin le lieu de l’intimité avec Dieu comme l’enseigne Moïse déjà mais surtout Elie.

    Durant ce carême nous devons reproduire le désert dans nos vies pour que rien ne puisse nous distraire du Christ: voilà pourquoi nous prions davantage pour être plus longtemps avec Lui ! Voilà pourquoi nous jeûnons, pour créer en nous un désir du Christ plus grand et que rien d’autre ne viendrait combler! Voilà pourquoi nous partageons, afin que les biens matériels ne nous séparent pas du Christ. ! Vivre le carême c’est vivre au désert, c’est reproduire le désert pour  mieux accueillir le Nouvel Adam.

    Ce peut être le moment de me fixer quelques objectifs concrets pour ce carême qui commence.

  • Méditer les lectures des dimanches chaque jour

    bible.jpgChers amis du blog !

    Voici que nous commençons le chemin vers Pâques, notre saint Carême !

    C’est un long temps de préparation : prendre le temps de se préparer à vivre la Pâque du Christ et à l’accueillir plus profondément, plus « amoureusement », plus radicalement.

    Ce blog peut vous aider !
    Chaque jour, quelques lignes de méditation sur les textes du dimanche précédent.
    Pourquoi ces textes ?

    Pour mieux ruminer la Parole.
    Il faut, à la fois, lire beaucoup la Parole de Dieu dans la Bible, à grandes lampées… et aimer revenir sur la même Parole… quelques mots, quelques lignes…

    Notre proposition est de relire les textes du dimanche durant toute la semaine, aspects par aspects…

    Nous commencerons lundi.

    Bon et saint carême à vous tous.

    Père Jacques Bombardier curé.

  • La ville en réco

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    Récollection (avec silence et prière)

    « La Ville en Réco. »

     

    à la cathédrale de Nancy

    Dans le prolongement des Actes des Apôtres.

    Les 5, 6 et 7 mars 2012

                Soit de 15H à 17H

                Soit de 20H30 à 22H30

    Prédicateur : le Père Jean-Philippe FORQUIN de l’ordre des Dominicains