Jésus nous a parlé, dans la parabole de la vigne, des relations qui existent entre lui le Sauveur et les sarments que nous sommes en lui par le baptême. Il s’agit de l’inhabitation mutuelle de Jésus et de ses disciples. Dans l’Evangile de ce dimanche voyons d’un peu plus près ces relations entre le maître et ses disciples que nous sommes.
L’Inhabitation de Dieu dans le croyant est une réalité qui dure (v.9-10)
En effet, cette inhabitation demeure – c’est le verbe clé – elle n’est pas passagère, elle demeure à l’image de l’inhabitation du Christ en son Père. C’est la plus grande merveille qui puisse nous arriver. Dieu se révèle dans une alliance intime avec chacun, dans une réciprocité étonnante où l’homme accueille la générosité divine infinie à son égard et ensuite va la manifester, à sa manière, dans son existence historique avec ses limites, sa personnalité, son langage …
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