Pour cette semaine
Il n'y aura pas de messe de semaine à la paroisse.
Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de notre Évêque et du Prévot de l'Oratoire concernant l’agression dont a été victime notre Père curé.
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Il n'y aura pas de messe de semaine à la paroisse.
Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de notre Évêque et du Prévot de l'Oratoire concernant l’agression dont a été victime notre Père curé.
La messe de ce dimanche est supprimée en raison de l'état de santé du Père Bombardier.
Nous n’avons aucun témoignage sur l’événement de l’Assomption dans le Nouveau testament, si ce n’est ce chapitre de l’Apocalypse que nous venons de lire et qui nous fait voir Marie glorieuse dans le monde de Dieu.
Les Pères de l’Eglise d’Orient parle abondamment de son Assomption à partir du 4ème siècle. La liturgie latine – à la différence de l’Orient - s’est montrée très longtemps très pudique et discrète sur ce mystère. Il faut attendre le Pape Serge 1er en 700, d’origine syriaque, pour que l’antienne de départ de la procession organisée par lui le 15 août à Rome déclare : « Vénérable est pour nous, Seigneur, la fête qui commémore ce jour en lequel la sainte Mère de Dieu subit la mort temporelle, mais néanmoins ne put être retenue par les liens de la mort, elle qui avait engendré de sa substance, votre fils, notre Seigneur incarné. » Mais quand le missel de la curie romaine s’imposa, cette oraison disparut !... sauf à Lyon et à Milan.
Elie un homme de feu. 9ème siècle av . JC. Il vit principalement dans le Royaume du Nord, sous le roi Achab et sa terrible épouse –Jézabel. Il souffre très profondément de l’infidélité du peuple de Dieu à son Dieu, infidélité du peuple encouragée par le roi et surtout son épouse, princesse phénicienne, de Sidon. On ne renie pas vraiment le Seigneur mais on prie aussi les idoles en particulier Astarté la grande déesse des Sidoniens. On ne renie pas Dieu on vit comme s’il n’existait pas !
LUNDI 14 AOÛT 2023
16H -17H confessions à Notre Dame de Bonsecours
18H messe de la fête à Bonsecours
21H30 à Bonsecours, procession aux flambeaux et vigiles de la fête
MARDI 15 AOÛT 2023
11H messe à St Pierre
17H30 à Bonsecours, vêpres et salut du St Sacrement
Entre la parabole de l’ivraie et du bon grain dimanche dernier, parabole qui se termine par l’annonce du jugement à la fin du monde et les trois paraboles de ce jour dont la dernière se conclue de nouveau par l’annonce du jugement dernier, rappelant que « les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes et les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. ». Jésus semble insister sur la gravité des enjeux qui sont présentés dans ces paraboles et sur la nécessité pour chacun de nous de faire les bons choix dans sa vie.
« Nous ne savons pas prier comme il faut. L’Esprit vient au secours de notre faiblesse, intercède pour nous par des gémissements inexprimables … et il intercède selon Dieu pour les fidèles » Je voudrais un peu prolonger notre année sur la vie dans l’Esprit Saint et commentait ces quelques lignes de St Paul aux Romains.
Nous ne savons pas prier comme il faut. Prier, si nous savons… nous savons prier comme des païens. Nous savons demander à Dieu de faire ce que nous souhaitons : avoir ses examens sans avoir fait tout ce qu’il fallait pour, prier pour que Dieu réalise les décisions pastorales qu’on a prises sans le consulter, quand ce ne sont pas des besoins plus élémentaires. Mais on intercède aussi pour des malades, des souffrants de cœur et de corps… La prière de demande nous est familière si nous laissons notre cœur s’exprimer… D’ailleurs le Seigneur nous invite à demander et « orare » en latin, veut dire demander !
Les lectures de ce dimanche nous offrent un magnifique enseignement sur la Parole de Dieu. Par le prophète Isaïe, le Seigneur nous révèle l’extraordinaire fécondité de sa Parole, fécondité et efficacité : la Parole ne revient pas à Dieu qu’elle n’ait accomplie la mission qu’il lui avait confiée, sans avoir réalisé ce Dieu désirait.
Evidemment quand nous regardons l’ensemble de la Bible, nous voyons bien que la promesse faite à Abraham – un descendant en qui seront bénies toutes les nations, une terre et une relation intime avec Dieu – la promesse faite à Abraham « a été, comme dit St Paul, pleinement accomplie dans la Résurrection du Christ » (Ac. 13), le descendant d’Abraham, en qui les nations reçoivent l’alliance et le Royaume de Dieu.
« Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. » (Evangile selon St Matthieu 11/25 et s)
Ce petit enseignement de Jésus donné aujourd’hui est d’une très grande densité. Nous y apprenons d’abord que Dieu veut se révéler, à qui et comment. On a un peu oublié, en parlant beaucoup du péché et de sa rémission, que le grand désir de Dieu est de se faire connaître et d’être aimé.
Nous fêtons aujourd’hui Pierre et Paul, deux apôtres. Pierre a fondé l’Eglise à Rome à une date incertaine : dans les années 40 sans doute. Mais le seigneur tenait absolument à ce que Paul aille à Rome : « La nuit suivante, nous apprennent les Actes des Apôtres, Le Seigneur se présenta à Paul et lui dit : Courage ! Tu viens de rendre témoignage à ma cause à Jérusalem. Il faut qu’à Rome aussi tu témoignes de même. » (Ac 23/11)
Comment éclaircir ce mystère des deux apôtres nécessaires à Rome ?
« Ne craignez pas, » ; « soyez sans crainte » ; deux injonctions données par le Christ à ses disciples. Et si Jésus donne ses injonctions à ses disciples, ce n’était certainement pas pour rien. Mais pour mieux comprendre ce passage d’évangile d’aujourd’hui, il serait bon de connaitre le passage qui lie l’évangile de dimanche dernier où Jésus a envoyé les apôtres en mission et celui de ce jour. Car entre ces deux passages d’évangile, Jésus ne cache pas aux apôtres que la mission qu’il leur donne est périlleuse, risquée. Ecoutons quelques phrases qui précédent l’évangile de ce jour : « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups… » (Mat 10,16), « Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues. … » (Mat 10,17)) ; « Vous serez détestés de tous à cause de mon nom… » (Mat 10,19) et nous arrivons au texte de ce jour…
Nous fêtons aujourd’hui « le Corps et le Sang du Seigneur » et en parlant du Corps et du Sang du Seigneur nous employons l’expression : la Présence réelle. Présence ? Et pourquoi « présence réelle » ?
Dieu nous a créés pour nous combler de sa Présence et par là, faire notre bonheur. Mais en même temps, sa joie, à Lui, est notre accueil de sa présence et notre présence à Lui en retour. Le sommet de l’oraison selon St François de Sales est ce qu’il appelle « l’oraison de simple Présence. »… ou pour parler comme le paysan du curé d’Ars : « Il me regarde et je le regarde ».
Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, c’est par ces mots que nous commençons nos prières et que le Père Bombardier a introduit la messe de ce jour.
Au nom du Père et du fils et du Saint Esprit, que nous accompagnons aussi du signe de la croix qui unit les trois personnes de la Sainte Trinité et notre pauvre nature humaine que le Christ est venu sauver par le bois de la Croix.
Le signe de la croix est sans doute le symbole chrétien le plus utilisé dans la religion catholique aussi bien par les fidèles que par la liturgie. Normalement toute prière commence et se termine par ce signe de la croix, où le mystère de la Rédemption est associé au mystère de la sainte Trinité.
Chers paroissiens voici quelques photos de notre pèlerinage paroissial à st Dié le lundi de Pentecôte. Nous somes entrés dans la cathédrale de bon matin : émerveillement ! La nef romane, dans la pénombre et le choeur gothique somptueusement illuminé par le soleil levant avec des verrières de feu... Pour un lundi de Pentecôte !!
Le programme entièrement moderne des vitraux est magnifique. Nous avons prié les laudes, évoqué la vie de St Dié - eh ! oui! c'est un saint - visité minutieusement la cathédrale et célébré la messe... accompagné au grand orgue par nos deux organistes!
En ce magnifique jour de Pentecôte, nous clôturons le thème de notre année pastorale, « Vivre dans l’Esprit Saint. » Et nous regardons l’œuvre de l’Esprit Saint dans l’Eglise dont c’est la fondation aujourd’hui à Jérusalem.
Qu’est-ce que l’Eglise ? Quelle est l’ouvre du St Esprit ?